@Captain Marlo
Bonjour.
« Plusieurs de vos propositions sont dans le programme de l’ UPR, en particulier sur le nombre d’élus à diminuer. »
Je ne connais pas le programme de ce parti, ni ceux des autres d’ailleurs, concernant cette réduction des effectifs, je ne peux que constater que malgré les diverses propositions, aucune diminution n’a été réalisée.
Les frais de campagne ou les Français doivent-ils financer la politique de leur Pays ?
Est un sujet diablement épineux.
Selon moi le système actuel est pervers, Nous l’avons constaté par la disparition presque totale de deux partis, dont l’un à même vendu son siège faute de moyen.
Les « magouiilles » ne sont que l’expression de la faiblesse humaine liée avec le pouvoir. Je ne dis pas que tous les politiques sont corrompus, loin de là, mais la redevabilité de certains est notable et ont le voit dans le temps, par un certain nombre « d’affaires » qui sortent judicieusement au grand jour, afin de calmer la véhémence que quelques uns ou de son parti.
Moi, je ne vois aucun soucis à ce que les financements soit privés, et les généreux donateurs connus, un peu comme aux U.S. Alors que chez nous déja parler d’argent est mal, mais quand l’ont même argent et politique c’est pire.
Cela permettrais aux Citoyens de mieux comprendre l’origine des douces paroles et le langage suave employé tous les cinq ans par les candidats, dans le seul but de charmer le « votant », car c’est bien de ça qu’il s’agit !
Oui mais les petits partis, ne pouvant pas être financé par ........ Et oui ont y vient, financer par ceux qui ont tout intérêt à ce que le cirque continu sans rien changer, afin de satisfaire leur soif incessante d’argent, tout en redistribuant quelques subsides à une bande petits d’actionnaires, tout aussi avide qu’eux.
Sondages et boîtes de « comm » sont les deux mamelles du cirque quinquénnal.
Bref, faire entendre sa voix, ses propositions, pour le devenir du Pays par les « petits » partis !
La seule chose que je peux concevoir c’est que le programme détaillé de chacun, celui sur la base duquel « ils » seront « normalement » élus, programme respecté à la lettre bien entendu. Soit à la charge de l’état et distribué à chaque citoyen, disponible en ligne aussi.
Restera un temps de parole ou une expression équitable sur les ondes, sur le Net, sur les réseaux, etc... Ou « Ils » auront à charge de défendre, d’expliquer, de commenter, les « bienfaits » de leur vision.
Il y aura aussi les fameux débats de confrontation, qui au lieu de tourner à « t’es nul et j’en ais une plus grosse », devront être un peu plus réfléchis.
Par contre, le seul Hic dans l’affaire et il est de taille. C’est que la mise en place de programme pour l’avenir du Pays, devant favoriser le développement, l’évolution face au monde et l’amélioration du statut de ses citoyens est très délicat, car redoutablement assujetti à une institution dont le but n’est pas du tout le même.
Institution, influant même sur les lois et règles d’un état souverain.