Bonjour,
Il
y a des analyses qui, se basant sur les sources des chiffres de PEW,
ainsi que sur
la formulation des questions dans
l’enquête, arrivent à des conclusions différentes : « The
current research provides a counterweight to the claim that
discrimination is not a prevalent feature of the lives of minority
groups and the serious implications this claim poses for research and
public policy. »
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC6328188/
A
priori, il ne me semble donc pas certain que votre travail repose sur
des fondations fiables. D’autant plus que le ’’QI’’ est semble-t-il
un outil qui est questionable.
.
J’avais
été frappé par les différences de certaines ’’races’’ montrant
les ’’meilleures performances’’ : les Juifs, les Hindous, et
quelques autres Asiatiques.
Pour
les Hindous, il aurait été utile de savoir de quelles castes
il s’agit. Car, sous l’étiquette ’’Hindous’’ il y a ces castes qui
sont des mondes bien différents.
En
tout cas, que ce soit pour les Hindous des castes supérieures ou
pour les Juifs religieux, les résultats ’’au-dessus du lot’’
s’expliquent simplement par une approche culturelle qui valorise
depuis l’enfance la valeur du savoir, du travail, de l’effort, de la
persévérance. Et tout le reste en découle...
Les
données que vous donnez pour les QI ’’des Juifs’’ me semble être
celui des Juifs Ashkénazes (Blancs originaires de l’Est de l’Europe,
il me semble).
Les
chiffres que j’avais donné dans un précédent Article étaient
proches, et donnaient les QI pour les Juifs ayant d’autres origines
du monde :
Ashkénazes
(110), Séfarades (98), Mezrahims (91), Ethiopiens (68)
On
voit bien que, pour ce type d’analyse, ce n’est pas la ’’religion’’
qui détermine le QI, mais la ’’race’’.
.
Ce
genre d’analyse des ’’races’’ ne me plaît guère car, les chiffres
présentés sont ceux encore ’’présentables’’. Derrière, il y a des
corrélations du QI avec les capacités cérébrales (et le
cerveau d’Albert Einstein est à contre-courant...) et aussi des
chiffres comparatifs Hommes Femmes. Rien que les chiffres sur
ces deux critères jettent un doute énorme sur la méthodologie de
la source.