Ce qu’il y a à comprendre, rosemar, c’est que les « virus », il en existe plein autour de nous. Il y a plus de virus dans notre environnement que d’étoiles dans la galaxie ! 

Eradiquer les virus de la surface de la planète est une foutaise, une mystification. Les virus ont toujours existé, ils existeront toujours. 

Alors quoi les virus seraient « dangereux » pour l’Humanité ? Où sont les preuves ? La « grande grippe espagnole » de 1918 ? Et bien, si les antibiotiques avaient existé à cette époque, cette grippe serait passée inaperçue. Les gens ne sont pas morts du virus de la grippe espagnole mais des sur-infections bactériennes qui font suite aux attaques virales. 

L’Humanité paie sa contribution aux virus : les êtres humains, affaiblis, meurent des attaques virales, les autres survivent. Le SARS-COV2 nous en a livré un très bon exemple ! Mais « on » fait croire à la dangerosité extrême de ce virus et de ses variants. Mais les chiffres sont là que chacun peut examiner tranquillement ! Ce virus (et ses mutants) n’est dangereux que, et uniquement que, pour les immuno-déprimés ! Hormis quelques situations génétiques absolument rares (drépanocytose par exemple). 

Les virus ne sont dangereux que chez les personnes possédant un système immunitaire dégradé ! Tout le reste n’est que « propagande » et « instillation » de la « peur », de la « sidération ». 

Le « monde scientifique » connait parfaitement bien les donnés du problème ! Mais, surtout, il ne s’agit pas de l’ébruiter ! 

« Ainsi, ce n’est pas le virus de la grippe lui-même qui a été le plus meurtrier lors de la pandémie de grippe espagnole de 1918 mais la surinfection bactérienne, notamment à pneumocoque, une bactérie des voies respiratoires supérieures. Cette susceptibilité à la surinfection bactérienne se déclare en général de 7 à 14 jours après l’infection grippale et l’issue peut parfois être fatale en l’absence de traitement par des antibiotiques, comme cela a été la cas lors de la grippe espagnole. »

https://pasteur-lille.fr/centre-de-recherche/thematiques-de-recherche/maladies-infectieuses-et-inflammatoires/surinfections-bacteriennes/

Les « élites politiques » abusent le « bon peuple » en lui faisant prendre des vessies pour des lanternes. Le moyen le plus efficace de lutter contre les virus respiratoires aérosols est d’avoir un système immunitaire « compétent ». Et, pour ça, il existe des solutions qui ne sont pas « vaccinales » !

La situation actuelle n’est en rien en lien avec la dangerosité d’un virus. L’affaire est strictement « politico-économique » ! Il y va de « notre projet » !

« 99,5 % des habitants de la planète sont des philistins abrutis… à l’image de la majorité des Anglais. Ce qui est important, à mon avis, n’est pas d’attaquer les 99,5 %, mais de faire en sorte que les 0,5 % survivent, gardent leur qualité au plus haut niveau, et si possible, dominent le reste du monde. La stupidité des 99,5 % est évidente mais au fond, à quoi pouvait-on vraiment s’attendre  ?

L’auteur de cette pensée est très célèbre !

« Plus efficace encore que les dictatures, le lavage de cerveaux en liberté ! Le système de contrôle des sociétés démocratiques est fort efficace  ; il instille la ligne directrice comme l’air qu’on respire. On ne s’en aperçoit pas, et on s’imagine parfois être en présence d’un débat particulièrement vigoureux. Au fond, c’est infiniment plus performant que les systèmes totalitaires. »