« Nouvel ordre mondial » n’est finalement qu’une simple organisation mafieuse composée de banques et de multinationales.
L’énorme pouvoir des banquiers est lié à la gestion exclusive qu’ils ont de l’économie via le contrôle des monnaies. Ils ont, peu à peu, établi un système de prédation capitalistique qui, à son tour, leur a permis de prendre le contrôle du phénomène politique, par la corruption ou l’intimidation, organisant en conséquence un système législatif qui leur soit de plus en plus favorable. L’exemple de la BRI (Banque des Règlements Internationaux) qui est une institution financière dotée de la totalité des prérogatives diplomatiques d’un État, bénéficie de tout les privilèges, notamment en matière d’immunité de ses membres, et ne rend de compte à personne. La BRI a été créée au tout début des années 1920 par une initiative de Haljmar Schacht (qui était alors un fonctionnaire subalterne auprès de l’autorité bancaire allemande créée par les alliés à l’issue de la 1ère guerre mondiale), Norman Montagu (gouverneur de la banque centrale d’Angleterre), J-P Morgan et leur intermédiaire commun John Foster Dulles. Concrètement, sans la BRI, l’Allemagne nazie n’aurait jamais pu financer ses préparatifs de guerre. La BRI a ainsi été la principale machine ouvrière de la 2ème guerre mondiale. Faire disparaître la prétendue indépendance et intégrité de la BRI, ainsi que de tous les paradis fiscaux de la planète, serait simple à mettre en œuvre : il suffirait qu’un ou plusieurs États envoient des corps militaires à l’assaut de cette forteresse financière pour qu’il n’en reste rien. Nous sommes aujourd’hui arrivés, avec l’avènement des institutions dites européennes, au point culminant qui consiste en l’institutionnalisation du « phénomène économique » en lieu et place du « phénomène politique ». La mise en concurence économique et juridique des États est en réalité une façon judicieuse d’imposer aux États l’intérêt, bien compris, des multinationales. La concurrence est, en réalité, le moyen technique d’imposer la loi du plus fort. En l’occurence, il s’agit du plus fort sous le prisme économique et capitalistique, ce plus fort étant chapeauté par l’anonymat. Peu importe que ce plus fort soit un terroriste, un assassin, un voleur et un menteur, car il est, de toute façon, anonyme. L’histoire démontre largement que les différentes « qualités » que sont l’aptitude au mensonge, l’absence d’état d’âme, l’absence de toute empathie et bienveillance vis-à-vis de la vie, la volonté hégémonique de prédation... sont précisément celles qui définissent le « plus fort économiquement ». Ce que les banquiers oublient vraisemblablement est une autre loi intangible de l’humanité : la loi du talion. Rien ne leur assure, à priori, que les souffrances qu’ils auront infligées aux peuples au travers des âges ne se retourneront pas contre eux, le jour où lesdits peuples les auront identifiés comme leur seul « ennemi » réel. Il n’existe pas de moyen, pour les plus gros détenteurs de capitaux, de s’assurer à l’aide d’un quelconque produit dérivé, contre un éventuel retour de « FLAMMES » que leur outrecuidance et leur violence auront provoqué.