@JulesDu13
Et quelques conclusions :
(A noter que ce calcul aux sources peu discutables et d’un niveau très élémentaire est bien sûr censuré sur les sites se prétendant d’information)
Les décès supplémentaires causés par le Covid sont surévalués d’un facteur 2 à 4 au moins.
A partir de là il faudrait qu’une personne totalisant les décès Covid spécifie s’il s’agit de décès avec Covid ou bien d’une surmortalité Covid.
Une possibilité, très difficile à concevoir, serait que la grippe et autres maladies infectieuses hivernales aient disparu depuis 2 ans et demi (depuis le début 2019, puisque 2019 est une année particulièrement creuse en mortalité). Mais alors 1/2, les 3/4 ou la totalité des décès Covid se seraient quand même produits en cas de grippe faible, moyenne ou forte respectivement.
Peut-être en cause : l’absence de test PCR grippe, et autres maladies infectieuses du même type, en vis à vis des tests PCR Covid.
Le mauvais calcul de la surmortalité Covid entache tous ceux faits à partir de ce chiffre :
rapport avantage/désavantage des confinements, pass sanitaire, blocages économiques, etc... et les rapports bénéfice/risque des vaccinations (devenues, de fait, forcées, pour des personnes qui veulent continuer à travailler, et pour tous ceux qui désirent conserver une vie de citoyen de plein droit).
Aux décès officiels Covid on pourrait aussi retrancher les décès imputables aux mesures anti-Covid :
impact économique, enfermement, stress, manque d’exercice, désorganisation du système de santé, baisse du nombre de lit d’hôpitaux divisés par 2 depuis 40 ans et suppression de 20% sur la dernière année (selon les infos TV).
Enfin, la mortalité Covid au début novembre, même officielle, qui est à un niveau 10 fois inférieur cette année par rapport à l’année dernière, ne peut pas justifier le recours au pass sanitaire.