@PascalDemoriane
Tout à fait d’accord avec votre commentaire. J’ai regardé et écouté toute la conférence. J’avais entrevu une réelle adéquation avec l’actualité « covidienne » et en avais absorbé goulument la théorie, me confortant dans mon action de résistance aux pressions et lois liberticides actuelles et à venir. Puis vînt la série de questions et à sa réponse à la première tout s’écroula. Non pas parce qu’il avait tout de suite attaqué et balayé d’un revers de main l’inefficacité acquise de l’hydroxichloroquine et son défenseur, qu’il identifia dans sa théorie au « sauveur », mais quand il s’est servi de quelques panneaux en carton étoilés de jaunes vus dans les premières manifestations parisiennes (juillet 2021), disparues depuis, pour rétamer définitivement la question sur le pass. Ceci m’a rappelé la position des organisations syndicale CGT ou celle de JL Mélenchon pour ne pas trop s’associer à ces manifs sauf à en faire le tri. Boris est, en fait, sur la même longueur d’ondes que Noam Chomsky prônant l’isolement des « non-résinés » en leur renvoyant à eux mêmes la satisfaction de leurs besoins substantiels. Qu’ils se démerdent c’est leur problème.
Nous sommes face à une dichotomie de la pensée où les idées de ceux, généralement associées aux progrès et à l’humanisme, deviennent celles portées par les plus conservateurs des conservateurs. Des frileux, hypocondriaques qui se sont battus toutes leurs vies pour un monde meilleur et plus juste et qui craquent et se démasquent en se masquant à quelques encâblure de la fin. Un naufrage. Un vrai naufrage !