@L’Auteur.

Qu’il existe des soucis dans la fonction hospitalière comme dans toutes autres entreprise d’ailleurs est je pense incontestable. Que ces derniers soient liées uniquement à des problèmes de réorganisation me paraît improbable.

Hier il fallait soigner, c’est vrai aussi que les notion de temps, d’effectifs, d’argent n’étaient pas prises en comptes, le confort du malade avant tout et je ne doute pas de la compassion pour les malades.

Progressivement la notion de soins est toujours là, mais la médecine à fait des « progrès » réduisant ainsi le temps d’hospitalisation pour une majorité de soins, il n’est donc pas anormal, qu’une sorte de réorganisation soit lancée.

Seulement voilà, des années et des années d’habitudes, de gabegie en tout genre notamment sur les « conditions de travail » ont conduit à une situation assez étrange. 

Bref, nous sommes dorénavant confronté à une situation ou d’une coté les soins coûtes un peu plus cher et personnes ne veut en payer le juste coût (prélèvement sociaux, mutuelles cher, etc...) et de l’autre coté que les acquis sont tel que personne ne veut les remettre sur la table, pour refonder le système de soins.

Qui entre parenthèse doit fonctionner dans une société qui se déshumanise, 

Une personne publique avait dit au début de la crise du C19, qu’il avait la forte impression qu’il y avait une sorte de « surjeux » de la part du monde hospitalier profitant un peu de la crise, je pense hélas que c’est un peu vrai.

Bref je viens de faire face à une situation dramatique fort récemment et j’ai été vraiment scandalisé par l’attitude, le comportement, les propos même du personnel d’un hôpital public que je ne nommerait pas. La crise du Covid à bon dos. Ce n’est peut être pas une généralité, mais c’est en tout cas très révélateur de monde qu’il conviendrait de discipliner rappelant surtout les droits et les devoirs.

Car aujourd’hui, les droits sont arrêt mis en exergue dans tout en un tas de conflits dits « sociaux » concernant la tentaculaire fonction publique et les devoir sont très largement passés à la trappe.

Le prétexte que leur situation de travail ne leur permet pas d’exercer correctement leur devoir convenablement est terriblement fallacieux..