@I.A.
Il ne s’agit pas de ni oui ni non, mais plutôt de chercher des données à la source et constater que la situation n’est pas en tout ou rien. Evitons l’ornière du catastrophisme officiel, sans pour autant tomber dans l’ornière du négationnisme sur l’épidémie.
Dans le cas des tests de dépistage covid, leur paramétrage est « trop sensible », donc effectivement certaines personnes qui ont des fragments de virus dans les fosses nasales ne sont pas forcément elles mêmes infectées, mais ont pu respirer une atmosphère chargée de tels résidus. A défaut d’autre chose, les évolutions de taux d’incidence sont néanmoins représentatives des évolutions de la circulation du virus. Si seulement une personne sur 10 dépistée positive est réellement malade, eh bien leur nombre évolue quand même de manière proportionnelle à l’incidence.
Des mesures disproportionnées ont été prises (confinement général, couvre feu avancé, masques en plein air, vaccination des jeunes non à risque, pass sanitaire, troisième dose, etc.) que je dénonce davantage me semble-t-il que les intervenants que vous évoquez.
En tout cas ma position est de renvoyer les autorités à leurs incohérences : si le vaccin est efficace (ce que je crois, au vu de la baisse de la sévérité des impacts), et la proportion de personnes vaccinées dans les catégories à risque étant déjà de 90%, alors qu’ils nous lâchent la grappe avec leurs mesures inutilement coercitives et infantilisantes.