Je veux rajouter une information, à l’occasion de la mort d’une de mes belles-sœurs.
L’enquêtrice sociale a écrit « les sœurs de madame trouve qu’elle s’est trop laissée faire pendant trop longtemps... » (je cite de mémoire). Madame a trois sœurs. Une seule a été interrogée, celle qui me déteste. Les deux autres ne se sont mêlées ni de la dispute, ni du divorce. Elles y ont été mêlées contre leur gré, sans en être informées.
Celle qui vient de décéder, et qui a toute ma compassion, m’a reçu chez elle avec mes filles après le divorce, après la violence du tribunal, qu’elle n’a pas trop su, je pense, en tout cas, je ne lui en ai jamais parlé. Je peux dire qu’elle subodorait fortement la violence de sa sœur, mon ex, je ressentais bien sa sympathie pour les enfants et pour moi.
Un juge qui accepte ce type de formulation n’est pas un juge, c’est un .ss.ssin. Ils sont 4 à l’avoir fait. 1 en première instance et 3 en appel.
Il y a une bonne quinzaine de personnes qui « s’exprime » ainsi, en faveur de mon ex-épouse et qui ne le savent pas eux-mêmes.
De mon côté, il y a deux témoignages. Quand ma sœur « s’exprime », il est écrit : « sa sœur prétend que... »
Des juges qui valident cela ne sont pas des juges, ce sont des prévaricateurs.