@Jonas
Les personnes qui décèdent du SARS-COV2, et variants, sont des personnes qui sont déjà malades. Qui montrent, par conséquent, un système immunitaire affaibli.
— Les diabétiques
— Les hypertendus
— Les insuffisants rénaux
— Les malades des coronaires
— les apnéistes du sommeil
— les cancéreux.
Hormis les cancéreux (mais je pourrais y revenir), toutes les autres pathologies sont en lien avec les vaisseaux sanguins, sont en lien avec l’accumulation de la graisse ectopique ! Ce qui faut savoir c’est que les obèses et les personnes en sur-poids sont de bons candidats aux décès par SARS-COV2 et variants et autres virus grippaux.
La facteur le plus prédictif d’une évolution mortelle d’une attaque de virus respiratoire aérosol est la présence de graisse ectopique chez la personne concernée. La graisse sous-cutanée est moins délétère, mais, elle aussi, participe très activement à la chute de l’immunité naturelle.
« Des études récentes ont démontré que l’altération de la réponse immunitaire chez l’hôte obèse entraîne une susceptibilité accrue à l’infection par un certain nombre d’agents pathogènes différents tels que la tuberculose communautaire, la grippe, Mycobacterium tuberculosis, le virus coxsackie, Helicobacter pylori et le virus de l’encéphalomyocardite. Bien qu’aucun mécanisme spécifique n’ait été défini pour la diminution de la réponse immunitaire aux maladies infectieuses chez l’hôte obèse, plusieurs changements associés à l’obésité tels qu’une inflammation excessive, une altération de la signalisation des adipokines, des changements métaboliques et même une régulation épigénétique pourraient affecter la réponse immunitaire. Cette revue discutera de ce que l’on sait actuellement sur la relation entre l’obésité et les maladies infectieuses. »
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/21127339/