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Commentaire de

sur Le libéralisme aux antipodes des idées reçues


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(---.---.113.94) 19 mars 2007 13:17

Ne vous fatiguez pas : la moitié des Français n’aiment plus la liberté depuis belle lurette ! C’est l’égalité qu’ils veulent, le nivellement par le bas, la sécurité (de l’emploi, de la santé, etc...ces Français-là sont des révolutionnaires en charentaises !) . Ils n’aiment pas non plus la fraternité, mais plutôt la défiance !!! L’autre, le voisin surtout, qui réussit un peu mieux, est un ennemi.

Depuis Louis XIV, Robespierre et Napoléon, ces Français-là aiment être enrégimentés, dirigés, vissés, contrôlés, nivelés, collectivisés. La liberté leur fait peur. Ils sont, au fond, très malheureux...

Comme le dit l’auteur de cet article (que certains commentateurs n’ont pas assimilé) le libéralisme est un concept très mal compris en France. Vous dites « libéralisme » et certains entendent « ultra-libéralisme » (une doctrine économique qui n’existe pas, soit dit en passant).

On se réfère toujours aux Etats-Unis pour évoquer le libéralisme. Or, ce pays, s’il est plus libéral que la France, n’en est pas moins protectionniste et oligarchique. Et en tout cas, il n’est pas libéral du tout sur le plan politique avec Mister Bush au pouvoir ! Cherchons plutôt des exemples de libéralisme dans certains pays d’Asie du Sud-Est, en Europe ou ailleurs...

Ceux qui s’opposent au libéralisme sont les partisans d’une forme ou d’une autre de méthodes dicatoriales de gestion de l’économie et de l’homme. Ce sont des fascistes masqués.

Quoi qu’il en soit, le libéralisme est le seul système viable en usage sur ce globe. Le communisme comme le socialisme sont définitivement enterrés. Ce sont des idéologies théoriques, et seulement théoriques, qui mènent à des impasses.

Et faire la « synthèse » du socialisme et de l’économie de marché ne mène à rien. Les synthèses, par définition, sont des compromis imbéciles.

Croyez-vous qu’en mélangeant un peu de mensonge à la vérité (ou vice-versa) on produira quelque chose de sain ? La somme d’une idée fausse et d’une idée juste est forcément une idée fausse.

Le tout est de mettre ses idées à l’épreuve du réel pour savoir si elles sont fausses ou justes, pas de les édulcorer ou de les appliquer à moitié.

La récente évaluation des programmes des trois premiers candidats à l’élection présidentielle par l’institut Rexecode montre quelle est la voie qui marche. Le reste, n’est qu’idéologie et préjugés.


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