Quoi qu’il en soit, malgré que l’on puisse constater une marche
ininterrompue de ce système pernicieux, il révèle aussi ses faiblesses,
car tout ce qu’il laisse derrière est« déconstruit », et ne tend que
vers une « planification » d’un projet, ce qui le fait avancer sur un
fil tenu, serti d’une non validité existentielle, et surtout très
fragile.
Sa force est de planter ses « pitons sécurités » dans divers pays, à
des moments différents, en étudiant les faisabilités, selon les
opportunités offertes, et se servir de celles ci, comme levier
« imparable » du « puisque les autres le font, nous ne pouvons réfuter
de le faire ».
C’est sa façon de progresser, toujours avec un point d’appui
assuré, alors que nous en sommes toujours à scruter les décisions,
affligées à notre propre pays. ( et digérer les dictats imposés aux
autres, comme les seules solutions valables)
C’est cette différence d’horizon, qui leur laisse toute latitude,
pour continuer leur avancement en endormant l’un, torturant l’autre, et
ainsi de suite.
Ce fil tenu, qui doit conduire à une toile globale, trouveras son
point de cassure, avec une globalisation des mouvements, car il n’est
pas prévu qu’il résiste à autant de points de tiraillement coordonnés en
simultané.
Sans parler de l’effet d’entrainement que ces regroupements auto
généreront, alimentant une bascule, irréversible de cette situation.
La fin se feras sur les ruines, que ce système à laissé derrière lui,
et les trous, vont être nombreux à être colmatés, avec autre chose que
la raison.