• AgoraVox sur Twitter
  • RSS
  • Agoravox TV
  • Agoravox Mobile


Commentaire de Legestr glaz

sur Un vent de révolte alors que le variant Omicron suscite des inquiétudes...


Voir l'intégralité des commentaires de cet article

Legestr glaz Legestr glaz 1er décembre 2021 08:35

@C BARRATIER

Et c’est aussi le Père Noël qui apporte les cadeaux par la cheminée ?

Vous écrivez n’importe quoi. Pour la grippe espagnole, les gens sont morts en masse parce qu’il n’y avait pas d’antibiotiques, d’une part, et que, d’autre part, les conditions sanitaires et d’hygiène étaient déplorables à cette période. Cette grippe a touché des organismes considérablement affaiblis pour cause de « conflit mondial ».

Ainsi, il est très facile de constater que les virus sont mortels chez les personnes dont l’immunité est affaibli. C’est la caractéristique principale des virus : ils sont mortels chez les personnes dont le système immunitaire est amoindri. Les virus sont des « régulateurs » de l’espèce humaine.

Les vaccins antigrippaux n’ont jamais, jamais, jamais, démontré leur efficacité dans la population « cible », c’est à dire celle qui présente une immuno-déficience. Les vaccins antigrippaux sont une géniale mystification de l’industrie pharmaceutique. Ils permettent de réaliser d’énormes profits. 

Et vous C BARRATIER, quels médicaments consommez vous ? Vous avez certaines pathologies ? Votre immunité est au top ou en déclin ? Votre tour de taille est-il celui de vos 20 ans ? Pas de graisse viscérale ? 

A savoir : le premier signe que notre santé chancelle, le premier signe que notre système immunitaire bat de l’aile, c’est « notre tour de taille ». L’accumulation de la graisse ectopique, viscérale, signale très « fortement » que notre organisme est en danger, qu’il lutte contre des phénomènes pathologiques que notre mode de vie amènent. 

« Ainsi, ce n’est pas le virus de la grippe lui-même qui a été le plus meurtrier lors de la pandémie de grippe espagnole de 1918 mais la surinfection bactérienne, notamment à pneumocoque, une bactérie des voies respiratoires supérieures. Cette susceptibilité à la surinfection bactérienne se déclare en général de 7 à 14 jours après l’infection grippale et l’issue peut parfois être fatale en l’absence de traitement par des antibiotiques, comme cela a été la cas lors de la grippe espagnole. »

https://pasteur-lille.fr/centre-de-recherche/thematiques-de-recherche/maladies-infectieuses-et-inflammatoires/surinfections-bacteriennes/


Voir ce commentaire dans son contexte





Palmarès