@alinea
Nous sommes à un tournant de notre histoire moderne. Un précurseur, Georges W. Busch avait dit en son temps que la réalité est ce que nous décidons (nous , les décideurs) qu’elle est. En bon français il disait déjà que la réalité est ce que je vous dis et nul examen des faits ou fact-checking ne saurait égratigner cette version officielle de ce qui est. On en est là, car il crève les yeux que les objectifs ne sont pas (en tout cas exclusivement) sanitaires. La censure éhonté de la communauté scientifique et de ceux qui parlent des études qui mettent au défi cette « vérité officielle » le démontre amplement.
La seconde guerre mondiale a bien montré le rôle des forces armées pour asseoir un Etat autoritaire et le poids critique de la propagande. Quand Twitter en est à sanctionner une mise en garde de l’association américaine de cardiologie qui s’écarte de la version officielle, on voit bien qu’on a en place des outils dont Goebbels ne pouvait que rêver. Leur pouvoir était dangereux en démocratie, mais sous régime autoritaire, que dire sinon qu’on est mal barré ?
L’union quand le simple déplacement en train coûte une PCR, quand le port du masque dans la rue peut devenir obligatoire en permanence si on n’est pas vacciné, quand ils peuvent décider que tout attroupement de gens non dotés du pass sanitaire est passible de prison au delà d’un chiffre magique arbitrairement fixé à quelques unités (par ex), les astuces sont innombrables et diviser pour régner est leur mantra bien sûr. Le détournement d’attention, le report de blâme, la prestidigitation se confondent avec l’art de la politique. On a donc affaire à une montagne à escalader.
On est peut-être à l’aube d’un viol collectif approuvé par la majorité de la population, car comme sous Vichy elle se couchera ne sachant pas quoi faire d’autre. Je n’aurai aucune place dans ce monde.