Conséquences psychologiques du port du masque par la population L’obscène
par Jean-Claude Paye, Tülay Umay
Chapeau :
« A ce jour, le port du masque par la population
pour combattre la Covid-19 est recommandé par de nombreuses
institutions, mais son efficacité n’a toujours pas été prouvée.
Jean-Claude Paye et Tülay Umay analysent les conséquences psychologiques
de cette pratique. Ils s’interrogent aussi sur l’étrange ressemblance
entre d’un côté les covidés et les jihadistes masqués et, de l’autre,
entre les réponses politiques à la Covid et à la terreur. »
Extraits : « Le covidisme prive les individus de leur visage. ... Le port du masque exhibe le consentement des populations au non sens de l’ensemble des dispositions « hygiéniques », à l’acceptation de mesures qui les détruisent. Si bien que refuser cette effraction de notre dignité mettrait fin à l’état d’urgence sanitaire. Au contraire, s’appuyant sur un passage à l’acte qui suspend la conscience, la généralisation du port du masque produit une homogénéisation des comportements. Elle supprime tout processus de différenciation et se pose comme religion universelle.
Une pédagogie de la contamination : Bien que même l’Organisation mondiale de la santé (OMS) reconnaisse que le masque ne protège pas du virus, son obligation est centrale dans la gestion de la « pandémie »
Porter le masque, c’est être un avec le pouvoir qui détermine ainsi les modalités de notre jouissance.Porter le masque, c’est être un avec le pouvoir qui détermine ainsi les modalités de notre jouissance. Cette emprise doit être permanente : le ministre belge de la Santé, Franck Vandenbroucke, vient d’ailleurs de préconiser l’adoption « d’une culture généralisée du port du masque », applicable même après la « pandémie » du covid 19 , afin de « prévenir d’autres maladies telle que la grippe »
Sans le respect de la contrainte du port du masque, toute la chorégraphie de la pandémie s’écroulerait. L’acquiescement des populations à l’impératif relève d’un rapport incestueux avec le pouvoir, consistant à attendre le salut de la part des instances politiques et à accepter de ne pas être soigné.
Le masque met en lumière l’obscène d’une double perte, celles de « perdre la face » et de ne plus avoir de vis-à-vis. Le port défie les lois de la survie. Le « souffle », le lieu de la représentation du principe vital, est perverti par le masque. Celui-ci devient un fétiche source d’obscénité et annulant la procédure du refoulement. Il exhibe le spectacle de notre propre mort. Le masque est alors le surgissement de l’image angoissante de la tête de Méduse, la révélation de quelque chose d’innommable.
Effraction du Réel : La formation politique des classes dominées étant détruite, il n’y a plus de limite à la jouissance du pouvoir. Celle-ci peut alors se déployer hors sens et hors droit. Tout ordre juridique n’est plus seulement déconstruit, mais banni. N’ayant plus de place, il n’a simplement plus lieu d’être. La démonstration du pouvoir, qu’il peut tout faire et tout dire, nous met face à l’effroi.
Le port du masque traduit un renoncement à rester des êtres humains. L’individu est alors assujetti au Réel produit par le spectacle de la « pandémie ». Il n’y a plus de distance possible entre l’individu et la maladie. Comme dans le « Je suis Charlie », le masque exhibe « je suis corona ». Alors, le corps ne parle plus, il se réduit à un « lieu d’effraction de jouissance"
La « pandémie » devient alors une machine mimétique, un système d’auto-destruction. »
Autres liens sur le masque : https://www.agoravox.fr/actualites/sante/article/cinquieme-vague-de-nouvelles-237700#forum6208844
Le masque sanitaire est une marque de soumission destinée à déshumaniser la population pour faire aboutir un projet démoniaque.