En témoignent quelques cadavres dans le placard à la présence insinuante
comme le refus du résultat d’un référendum (qui n’était pas le refus du
développement d’institutions européennes) fondé sur le suffrage
universel par l’entente entre les états-majors de partis nommés plus
haut coalisés pour y substituer un traité approuvé sans aucun mandat
politique obtenu à cet effet (pour mémoire, le candidat écologiste du
moment apporta aussi sa contribution à l’époque indispensable sûrement à
une certaine conception de l’écologie).
Ce qu’il ne faut pas lire. Pourtant on l’a déjà dit et répété :
Sarkozy avait clairement annoncé la couleur, il n’a pris personne en traître, et il a été élu (malgré ça) très largement.
Alors si t’es pas content de la « trahison » de 2005 :
il ne fallait pas voter Sarkozy.
et/ou
il faut réfléchir un peu plus sur le sens de référendums qui sont exceptionnels, qui ne sont en réalité pas contraignants, et qui ne règlent pas forcément pas forcément tous les problèmes, pour peu que le contexte s’y prète mal.
Le référendum sur le Brexit, en 2016, a nécessité 4 ans et demi supplémentaires pour savoir « qu’est-ce qu’on va mettre dedans ».
sur le enième référendum en Nouvelle Calédonie qui va précipiter le retour du face à face entre indépendantistes et non indépendantistes