@astus « Revenons enfin aux vraies valeurs : « la famille, c’est un père adoptif et cocu, une mère vierge, et un fils crucifié ». Plus 300.000 abus sexuels récents. »
Le Christ Jésus est la Révélation, Fils de Dieu, Agneau de Dieu venu ôter les péchés du Monde par son Sacrifice sur la Croix, la parole de Dieu incarnée sur Terre :
« N’avez-vous pas lu que le créateur, au commencement, fit l’homme et la femme et qu’il dit : C’est pourquoi l’homme quittera son père et sa mère, et s’attachera à sa femme, et les deux deviendront une seule chair ? Ainsi ils ne sont plus deux, mais ils sont une seule chair. Que l’homme donc ne sépare pas ce que Dieu a joint. »
Matthieu 19:4-6
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« Plus 300.000 abus sexuels récents. »
Une propagande de la secte maçonnique honteuse. Ce chiffre de 330 000 annoncé sur tous les média pendant des semaines pour décrédibiliser l’Église catholique repose sur du vent.
Le Franc-maçon de la Grande Loge De France Jean-Marc Sauvé a dirigé la commission sur les abus sexuels dans l’Église (CIASE,) et a choisi lui-même ses collaborateurs, qui expliquent dans leur rapport comment ils ont établi le nombre de victimes d’abus sexuels dans l’Église :
« l’enquête de l’INSERM aboutit à une estimation du nombre de victimes mineures d’agressions sexuelles commises par des prêtres, diacres, religieux ou religieuses, qui s’établit à 216 000 personnes sur la période allant de 1950 à 2020, selon l’enquête en population générale menée auprès de 28 010 personnes âgées de 18 ans et plus, représentatives de la population française, selon la méthode des quotas. En élargissant l’analyse à l’ensemble des personnes en lien avec l’Église (personnel des établissements d’enseignement ou internats catholiques, laïcs assurant le catéchisme ou des services en aumônerie, animateurs de mouvements scouts ou d’autres mouvements catholiques de jeunesse), le nombre estimé de victimes mineures s’établit à 330 000 sur l’ensemble de la période. »
« une enquête sur les violences sexuelles en population générale, conduite entre le 25 novembre 2020 et le 28 janvier 2021 auprès d’un échantillon par quotas de 28 010 personnes de plus de 18 ans, interrogées par Internet au moyen d’un questionnaire en 28 points, élaboré par l’équipe de recherche et administré par l’IFOP. Cette enquête a permis d’estimer la prévalence des violences sexuelles perpétrées par un membre de l’Église catholique, de la comparer à celles des violences commises dans d’autres sphères de socialisation (famille, école, activités sportives, autres religions…) et enfin d’apprécier la spécificité sociale et démographique de l’appel à témoignages. »
On voit que le rapport fait mention du nombre de 330 000 enfants victimes d’abus sexuels dans l’Église catholique ! Ce nombre repose uniquement sur des sondages Internet effectués sur un échantillon de 28 010 personnes interrogées entre le 25 novembre 2020 et le 28 janvier 2021 (soit 0,055% de la population adulte), par une équipe de statisticiens de l’INSERM, sans véritable estimation de réelle fiabilité.
L’INSERM a ensuite extrapolé les données de ces sondages pour les lisser sur une période de 70 ans et obtenir ce nombre faramineux de 330 000 victimes, un délire intégral !