@pipiou2
 
Pour le SIDA je ne savais pas que l’on pouvait faire 5 millions de test par semaine. Vous m’en apprenez une bien bonne ! 

Et, puisque vous parlez d’immuno-déficience, je voudrais préciser, ici, que les cas « graves » et les décès par virus respiratoires aérosols, concernent à plus de 90% des personnes qui présentent une glycémie dérégulée. Et, par conséquent, si l’on voulait « sauver des vies », « prendre soins de nos ainés », il faudrait songer à tout mettre en oeuvre pour « surveiller » cette glycémie et la faire revenir à l’homéostasie. Mais cette affaire est passée sous silence au profit d’une publicité à large échelle pour une injection génique expérimentale en phase de test. 

Les normaux-glycémiques ne meurent pas des attaques des virus respiratoires aérosols, ni des coronavirus ni des virus grippaux. 

Le dépistage de la tolérance au glucose chez les personnes non encore infectées par le virus pourrait prédire les groupes présentant le risque le plus élevé de maladie grave et de décès.
L’un des nombreux changements qui surviennent avec le vieillissement est une augmentation constante de la glycémie à jeun et de la glycémie postprandiale, une augmentation du taux d’intolérance au glucose.
https://www.ncbi.nlm.nih.gov/pmc/articles/PMC2080461/

Le virus dépend entièrement de l’hôte pour son énergie et doit détourner la machinerie cellulaire de l’hôte pour produire davantage de copies de virions. La glycosylation et la glycolyse sont deux voies clés nécessaires à l’entrée et à la réplication virales et, par conséquent, le détournement de ces processus métaboliques est d’une importance critique pour l’infection.

La réplication virale de la grippe dans les poumons est proportionnelle à la concentration de glucose dans le sang. Idem pour les coronavirus.

Surtout ne le répéter pas pipiou2, cela pourrait se savoir et marquerait la déchéance de l’injection génique expérimentale en cours de test.