A
qui bon encore, dans un scrutin à deux tours, redoutable par son mécanisme d’élimination,
travailler à disperser les voix qui attendent
et travaillent à une authentique alternative de gauche quand les états-majors
qui l’ont détruite continuent de vouloir se perpétuer partageant avec la droite
et les médias dominants leur véritable crainte qu’il ne faut surtout pas avouer
« Tout sauf Mélenchon » Ce qui veut dire bien sûr tout sauf le mouvement
social qui porte LFI bien sûr.
Qui
n’a pas vu et compris que toutes les petites comédies autour de primaires de
gauche relèvent du même naufrage
politique et de la même hypocrisie.
Tout cela a profondément également quelque chose à voir
avec le bon fonctionnement d’une démocratie qui nécessite un contrat social
équitable, ce que ces gens-là ont perdu de vue comme ils ont perdu de vue leurs
concitoyens.
LFI n’est pas la clef du changement mais elle en est une
composante incontournable. Les plus mauvais coups lui seront donc réservés. N’oublions
pas ce qui est visé.
Il
y a 3 verrous fondamentaux à ouvrir :
La
question du pilotage économique par le politique et non par le marché et ses
délégués élus.
La
question de la mise à jour de nos institutions et de la nécessité de processus
démocratiques associant les citoyens.
La
question de la nécessaire évolution
des traités européens.