Bonjour rosemar !
Vous êtes devenue, depuis quelques articles, le pot à miel, qui attire certains
« nuisibles », qui font mine d’être de grands humanistes, mais qui pètent à la face de tout contradicteur, les mettant devant une réalité vraie.
Bon, passons, ces sbires énucléés, font grimper le quota des réponses, mais, généralement, ils disparaissent au bout d’un temps CONsommé, puisque devenus à longue, parfaitement indigestes à toute confrontation en parfaite intelligence.
Soit !
Vous savez, rosemar, pour ce qui concerne l’Italie, et les larmoyants qui s’épanchent sur les malheurs des « non nageurs », je crois, et je suis même certain, d’en connaître un rayon, sur les motivations profondes qui ont cours en ce pays,
( tout comme en Espagne, d’ailleurs )
Juste une petite info économique....
Pensez vous que la récolte des fruits et légumes, y compris des olives, et autres manutentions, s’y fassent par une main d’oeuvre....native ?
Lorsque vous allez chercher vos tomates, et fruits, made in spain, ou Italie, ( et même en Corse) croyez vous que ces tomates aient été collectées uniquement par des moyens mécaniques ?
Avez vous entendu parler de ces « bidons villes » isolés sur des hectares de terre agricole, loin de toute civilisation, et qui ont recréé leurs réponses, à leurs besoins, avec une autonomie abritée sous des bâches, et des plastoc d’emballage de produits dangereux, qui vous ronge la peau ?.......Pensez vous vraiment, que ces gens soient invisibles, du ciel, comme de l’administration, comme de toute repentance humaine ?
Vous le voyez le tarif de la tomate ? Quand vous emplissez vos sachets, de ces fruits et légumes de la souffrance.....Rendue invisible pour de simples raisons économiques ? Pourtant estampillés « agriculture raisonnée ».
J’en ai vu des « associations » qui défendent le « slow food » qui n’avaient d’ouvriers que des africains, payés par une gratification gratuite « en formation ».
Les lamentations de certains, sont aussi puantes, que les récriminations libertaires, ou celle des assoc, qui ne sont que l’ombre portée, de cette exploitation humaine, qui arrange bien plus de monde, que la totalité des souffrances cumulées.
Il faut le voir pour le croire . Cela vous fait admettre, une réalité malodorante, à tous les niveaux......Même au passage en caisse, même à l’utilisation de ces denrées de la misère exploitée. Et ce misérabilisme, de l’exploitation humaine, à tous les échelons, de la société, ne disparait certainement pas, à la cuisson !