Commentaire de Schrek
sur Le général Boulanger, l'irruption d'un patriotisme de pacotille
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Boulanger était un va-t-en guerre revanchard qui cherchait un incident pour repartir comme en… 70
Il ne faut pas oublier l’ »affaire Schnæbelé » qui a failli aboutir à ce résultat. Ce qui a empêché la situation de dégénérer est la conviction par les deux camps (les industriels en particulier et non les politiques) de la non-opportunité d’un conflit à ce moment précis (conviction changée une trentaine d’années plus tard, en 1914), ainsi que la relative modération des équipes alors au pouvoir dans les deux pays.
C’est à cette affaire que, face à la position de Boulanger qui s’exclamait « je ne vois pas de réponse sous une autre forme que celle de l’ultimatum », Clémenceau a fait ce fameux commentaire sous forme de boutade : « La guerre ! C’est une chose trop grave pour la confier à des militaires ».
Derniers commentaires
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25/12 23:28 - ETTORE
Rakotonanobis propose toujours des photos, avec des messages cachés. Dans ce cas précis, peut (...)
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23/12 11:06 - Daniel PIGNARD
Ben tout ça c’est bien beau mais il est justement prophétisé un homme providentiel après (...)
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23/12 03:46 - chantecler
Tout cela est fort juste . Boulanger, issu de la jeune république, mais très nostalgique de (...)
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22/12 19:04 - Lynwec
@berry J’ai pourtant suggéré cette enquête que tous attendent, compte-tenu du sérieux et (...)
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22/12 15:24 - Schrek
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22/12 13:15 - Schrek
Boulanger était un va-t-en guerre revanchard qui cherchait un incident pour repartir comme (...)
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