@jjwaDal
« Savoir que le « bilan carbone » des gros animaux à sang chaud est une catastrophe, »
J’espère que vous intégrez l’humain dans votre affirmation, car je pense que principalement, uniquement même c’est la présence humaine qui est la principale responsable d’un bilan carbone catastrophique.
J’ai toujours trouvé assez curieux dans les analyses environnementales, comment ont s’intéresse d’abord aux défaut des autres, avant de voir les siens.
Ce n’est pas pour cela qu’il ne faut pas réduire notre consommation carnée bien sûr. Le « véganisme » étant un principe similaire à la consommation de farine animale par les animaux.
Un non sens total, du exclusivement à des excès de consommation et du gâchis associés dans les sociétés dites « avancées », génératrices de 90 % de la pollution mondiale en faisant fi dans ce type de nourriture des problèmes de santé associés.
L’humain, n’est plus raisonnable, uniquement l’humain de ces fameuses sociétés industrielles, il existe ou subsiste selon, encore des sociétés ou sous groupes peu importe (faisant toujours l’objet de moult documentaires) qui n’ont pas cédé à la folie, vivant « normalement (1) » sur la planète et qui sans les « autres » pourraient continuer de vivre normalement.
Cela suscite chez certains des émois, de comment il faudrait vivre dans une douce harmonie avec la nature, mais c’est aussi oublier les changement physiologiques qui se sont opérés sur les sociétés d’aujourd’hui. Rendant très difficile voire quasi impossible un retour en arrière.
Dans un Pays comme la France l’homme du 18 éme siècle était plus robuste qu’aujourd’hui, certes il vivait moins longtemps mais était capable de faire des choses que beaucoup ne pourrait pas faire aujourd’hui, ou si cela était possible, son espérance de vie serait très certainement inférieure à celle d’aujourd’hui.
(1). Tout le problème vient du « normalement ».
Qu’est ce qu’une vie normale, qu’entend-on par là ?
Continuer de vivre comme aujourd’hui, mais plus modérément ?, plus sobrement ?
Ce n’est pas gagné, il faudra un sacré changement de mentalité