ah les joies des mathématiques, défiance ou confiance, trucage ou interprétation, fiabilité ou incohérence a décrire le réel.
la seule chose qui est intéressante de constater avec les sondages, c’est qu’ils orientent, que l’on croi ou pas en leur validité, l’attention des citoyens, qui ensuite se forge espoirs, crispation, confiance ou mépris, adhésion ou rejet, mais surtout opinion vis à vis de ce que les sondages on contribuer a leurs on mis sous le nez... ou pas.
aprés on peut critiquer les méthodes, leur pertinence, leur fiabilité, leur principe même, parce qu’on laisse sous entendre a travers eux qu’un panel suffit a faire une élection, et cela affaibli toujours le droit de votes au suffrage universel lorsqu’on tend a démontrer qu’on peut s’en passer par l’opinion d’un plus petit nombre.
Mais le sondage n’est rien d’autre qu’un outil de communication qui se veut a pertinence et fiabilité mathématique.
En attendant pour monsieur bayrou, ce qu’il y a sur c’est qu’il fait une bonne campagne, sondage ou pas, lui quand il rentre dans un stade il ne se fait pas sifflé comme ségolène, et peu allez en banlieue sans créer une émeute,
et si les sondages sont un coup de pouce a sa candidature c’est principalement parce que du coup l’attention d’un plus grand nombre de français s’est porter sur lui et son message,
et il faut vraiment les prendre pour des idiots pour croire qu’il se font « avoir par les sondages », et non pas tout simplement écouter ce que chaque candidat valable a a dire, et se faire leur propre opinion.
amicalement barbouse