Bonjour à tous les commentateurs et désolé pour le temps de réaction inhabituel mais je n’ai reçu aucune notification, ni accusé de réception, ni confirmation de publication, ni aucun mél de commentaires.

Pas grave, l’essentiel est que l’article ait été publié et qu’il soit lu.

Dans ce qui suit, je vais d’abord répondre à tous ceux qui ont tiqué à l’idée que le vaccin protège des formes graves.

Pour ma part, je suis toujours disposé à ce qu’on me prouve que j’ai tort. Mais encore faut-il me le prouver. Donc pour le moment, cette seule concession que je veux bien faire à l’égard de ces vaccins, je continue à la faire bien que, je l’admets, ici, sur Agoravox, c’était pas vraiment utile, car nous sommes un peu entre nous, les libres penseurs, donc pas besoin de se raconter d’histoire, on peut aller droit à l’essentiel.

Si j’ai conservé cette concession c’est que cet article a plusieurs cibles et s’adressait aussi à un public « non averti » à qui, justement, il fallait bien faire des concessions afin de le disposer à écouter. Mais encore une fois, cette concession, pour rhétorique qu’elle soit, n’en est pas moins justifiée à mes yeux, je n’ai aucune peine à le reconnaître... jusqu’à preuve du contraire.

Ceci étant dit, l’essentiel, bien sûr, est ailleurs et c’est tout ce que j’ai essayé de mettre en avant dans l’article.

Notamment le fait (souligné par Clocel) que l’action gouvernementale devrait pouvoir faire l’objet de poursuites en justice pour des fautes gravissimes qu’on devrait probablement pouvoir qualifier de crimes à divers degrés de sorte que se pose la question de savoir quand et comment justice pourra être faite.

Mais nous en sommes loin car, dans ma conclusion je suggérai que rien, absolument rien ne nous sera épargné. Donc il faut se préparer à survivre, un peu comme si une météorite allait bientôt percuter la Terre. 

Bref, on peut s’exclamer « Apocalypse Now ! », non pour l’appeler mais pour l’anticiper, car c’est bien ce qui arrive, n’en déplaise aux optimistes invétérés.

Voilà, ce sera tout pour cette année. Je vous retrouve l’année prochaine pour répondre aux autres points laissés en suspens. D’ici là je vous souhaite de passer du bon temps, en bonne compagnie.