@Pie 3,14
Vous confondez un vaccin (style « grippe ») avec un traitement expérimental qui est en fait encore en étude clinique (d’où les multiples découvertes de ses limites et effets collatéraux).
Vous oubliez qu’en deux ans, seuls 20% des britanniques ont été en contact avec ce virus (y compris « Delta ») et on peut transposer ici.
Vous oubliez que vu l’instauration de fait d’un laisser passer sanitaire uniquement accessible aux « vaccinés », ce sont des vaccinés qui ont ramené le « Delta » et « Omicron » chez nous via le transport aérien et l’ont diffusé.
Vous oubliez qu’on a diminué les capacités d’accueil des hôpitaux à population croissante et de plus en plus âgée.
Vous oubliez que l’Europe a été infoutue d’autoriser ou fabriquer un vaccin traditionnel contre cette maladie (d’où les deux milliards et demi de doses de « Pfizer » commandées).
Vous oubliez que le problème du choix s’est déjà posé pour les cancers du poumons chez les fumeurs, pour le SIDA et aujourd’h’ui pour les obèses et certains diabétiques (qui ont tout fait pour l’être vu leur style de vie).
Vous oubliez qu’on est parti sur la piste du vaccin avec un virus qui mute substantiellement tous les trimestres, soit bien plus vite que notre capacité à fabriquer les vaccins ad hoc contre les nouveaux venus.
Vous oubliez l’interdiction de fait d’utiliser des médicaments anodins, très connus et peu coûteux et les médecins pour freiner l’arrivée dans les hôpitaux, etc...
Vous oubliez qu’on veut vacciner de force des gens qui ne courent virtuellement aucun risque d’être débordés par le virus et dont le profil bénéfice/risque est plutôt défavorable. Le coût de ces vaccinations aurait pu être redirigé vers les hôpitaux et par ailleurs l’argent ne manque pas pour embaucher des policiers quand il manque pour étoffer le personnel médical, etc...
Vous oubliez qu’on veut vacciner contre le variant de l’hiver 2021/2022 avec le vaccin contre le variant de l’hiver 2019/2020 et en pleine épidémie.
Personnellement je suis enclin à souhaiter que ceux qui sont à risque puissent accepter les vaccins traditionnels qui vont arriver, à défaut le « Vanovax ». Mais cela ne résoudra aucun problème, même quand nous serons tous remis d’une infection ou vaccinés contre le virus de Wuhan.
Le problème est politique bien avant d’être sanitaire.