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Commentaire de Legestr glaz

sur Les Français en ont marre des antivax !


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Legestr glaz Legestr glaz 10 janvier 2022 18:16

@Jonas

5,3 millions de morts et 8 milliards d’habitants. 

Tous les pays se « battent », n’est-ce pas, principalement ceux de l’OCDE, aidés en cela par des organismes internationaux, comme le GHSA et l’OMS et privés comme le GAVI et la fondation Rockfeller. 

5,3 millions de morts : combien d’obèses morbides ? Combien de diabétiques ? Combien d’hypertendus ? Combien d’insuffisants rénaux ? Combien de malades des coronaires ? 

Et, surtout, combien de personnes à la glycémie dérégulée ? Je ne parle pas seulement des diabétiques !

Les personnes atteintes de diabète courent un risque accru d’infections bactériennes, mycotiques, parasitaires et virales.

La pandémie de coronavirus du syndrome respiratoire aigu sévère (SRAS)-CoV2 (également appelé COVID-19) met en évidence l’importance de comprendre la physiopathologie partagée de la maladie pouvant potentiellement éclairer les choix thérapeutiques chez les personnes atteintes de diabète de type 2 (DT2). Deux protéines réceptrices du coronavirus, l’enzyme de conversion de l’angiotensine 2 (ACE2) et la dipeptidyl peptidase-4 (DPP4) sont également des transducteurs établis de signaux métaboliques et de voies régulant l’inflammation, la physiologie rénale et cardiovasculaire et l’homéostasie du glucose. De plus, les hypoglycémiants tels que les inhibiteurs de la DPP4, largement utilisés chez les sujets atteints de DT2, sont connus pour modifier les activités biologiques de multiples substrats immunomodulateurs.Nous passons ici en revue la science fondamentale et clinique couvrant les intersections du diabète, des infections à coronavirus, de l’ACE2 et de la biologie DPP4, soulignant la pertinence clinique et les domaines d’incertitude en évolution qui sous-tendent la physiopathologie et le traitement du DT2 dans le contexte de l’infection à coronavirus
https://pubmed.ncbi.nlm.nih.gov/33188364/

Deux études disponibles à ce jour ont étudié les résultats de la sévérité et de la mortalité chez les patients diabétiques stratifiés sur le contrôle glycémique. Les deux études ont montré sans équivoque que les patients présentant une hyperglycémie mal contrôlée (glycémie >180 mg/dl) ont un niveau significativement plus élevé de marqueurs de mauvais pronostic biochimiquement, par rapport aux bras bien contrôlés (glycémie <180 mg/dl). De plus, une augmentation significative de la gravité et de la mortalité a été observée dans les cohortes avec une glycémie mal contrôlée quelle qu’en soit la cause (diabète ou hyperglycémie de stress), par rapport aux cohortes bien contrôlées avec COVID-19, même après ajustement de plusieurs facteurs de confusion.
https://pubmed-ncbi-nlm-nih-gov.translate.goog/32473903/

Je vous fais remarquer que l’on parle d’une glycémie supérieure à 180g/l ce qui est monstrueux. Parce que même une glycémie supérieure à 1,10g/l, sur du temps long, est déjà problématique pour le système immunitaire.

Alors Jonas, vous maitrisez la glycémie de la population et vous videz les hôpitaux mais vous ruinez aussi l’industrie du médicament !


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