@Captain Marlo
Le débat sur l’efficacité de l’hydroxychloroquine a été planétaire, rien à voir avec une lubie d’un « charlatan » pourtant au terme d’une carrière professionnelle d’exception. Médicament hors norme qui est passé en quelques mois du statut de médicament anodin mais sûr en vente libre à « tueur en série » impossible à obtenir par ordonnance d’un médecin puis dans un cadre hospitalier.
Qu’il ait fallu une commande spéciale pour flinguer cette molécule via une fraude manifeste mystérieusement non détectée par le « Lancet » et que sa réputation récente soit restée intacte après les démentis n’étonnera personne pas plus que l’explosion de la seconde usine de production de ce médicament sur la planète.
Autant d’acharnement pour une molécule sans intérêt thérapeutique et qu’on veut voir comme un tueur est pathétique mais c’est passé comme une lettre à la poste.
Curieusement le même sort fut réservé à l’Ivermectine, avec la FDA faisant récemment capoter un bras d’étude en double aveugle pour étudier son efficacité aux USA.
Même quand on pourrait avoir facilement la preuve de l’inefficacité totale de ces deux molécules, les agences de régulation font en sorte qu’on ne puisse avoir cette preuve.
Et ça devrait ne pas étonner ?
Début 2020, la chloroquine était la seule arme potentielle contre le SARS-Cov 2 quand on n’avait rien d’autre et elle a été mise à mort dans les règles de l’art, alors
que le début de l’épidémie voyait flamber les ventes de Doliprane.
2 ans plus tard tout indique qu’elle avait un rôle à jouer alors, même si c’est plus discutable aujourd’hui vu la palette d’outils disponibles.