@goc
« il vous manque une bonne dose de neurones et que du coup, vous prenez vos phantasmes pour la réalité. »
Avant de m’insulter, il faudrait que vous fassiez un peu de ménage dans vos idées. Vous parlez sur un ton péremptoire des accords de Minsk sans préciser de quoi il s’agit. Vous me faites penser au diner de cons où ceux qui voulez se moquer d’un brave homme étaient très sûr d’eux mais se sont révélés être les véritables imbéciles dans l’affaire.
Vous ne vous êtes même pas aperçu que l’expression « accords de Minsk » est ambigüe. S’agit-il du traité du 8 décembre 1991 ou des accords du 11 février 2015. Il y a eu aussi le protocole de Minsk du 5 septembre 2014 avec le mémorandum de suivi du 19 septembre 2014.
Dans tous les cas il était question des « mercenaires étrangers » et plus généralement
de retirer « du territoire ukrainien le matériel militaire, les forces armées et les combattants étrangers », « d’assurer une surveillance permanente de la frontière russo-ukrainienne »...
Il est évident que la Russie était concernée. Si vous ne l’avez pas compris c’est sans doute qu’il vous manque, comme vous dites, plus qu’une dose de neurones.
Venons en à l’essentiel. Je ne vois pas comment ces accords qui servaient dans une situation précise à aboutir à un cessez-le-feu (et non pas à un accord de paix) peuvent être utiles dans la situation présente ou la question est nettement différente. Il s’agit d’éviter une guerre et non pas de chercher un cessez-le-feu. Je ne sais pas si votre cerveau est assez développé pour que vous puissiez vraiment suivre cela.