@Schrek
Bonjour et merci pour votre observation à laquelle je réponds.
« … jouer
le jeu d’un redéploiement géostratégique, géopolitique, géofinancier dans le
cadre d’un partenariat complètement rénové de fond en comble avec les pays
d’Afrique désireux de repenser un avenir commun pour le XXIè siècle. »
Langue de bois pour
signifier qu’il est urgent pour les capitaux transnationaux de définir de
nouvelles règles pour assurer un rendement convenable des leurs investissement
néocoloniaux, garantis par des régimes favorables apables d’assurer la sécurité."
Prenez le temps de lire, de vous documenter et surtout de voyager en Afrique (le continent est vaste, je le sais) et de voir l’énergie qui s’y déploie, le foisonnement qui accompagne les initiatives, les réussites d’un développement économique, financier,entrepreneurial qu’il faudrait être aveugle et sourd pour ne pas voir et entendre.
Le langage que vous utilisez et le prisme idéologique qui l’accompagne en mâchonnant le vieux chewing-gum des investissements néocoloniaux est dépassé, surtout si vous avez à l’esprit la Françafrique et la France à fric, mantras bien connus mais obsolètes.
Voyez plutôt l’importance de l’impérialisme économique et financier chinois en Afrique qui se traduit par une politique effective de prédation économique qui va jusqu’à l’imposition du Yuan comme monnaies nationales, ce que vient de faire le Zimbabwe (ex-Rhodésie, pour rappel).
https://www.un.org/africarenewal/magazine/august-2014/chinese-yuan-penetrates-african-markets
China’s Finance in Africa
What and How Much ?
Published online by Cambridge University Press :
17 December 2020
Bien à vous,
Renaud Bouchard