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Commentaire de Renaud Bouchard

sur Mali, diplomatie et Grand ménage de Printemps : à quand l'ordre donné aux ressortissants maliens de quitter la France dans les 72 heures ?


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Renaud Bouchard Renaud Bouchard 4 février 2022 11:27

@Abolab
Mais non.
Restez en France !
ce pays est magnifique et tout simplement génial pour y vivre.

Il suffirait simplement de se débarrasser de la camarilla politique qui nous empoisonne littéralement la vie pour que tout aille mieux.

Voyez à ce propos cet article qui m’a été adressé :

Les dernières déclarations d’Olivier Véran ont de quoi inquiéter notre pays. Le législateur a voté les conditions du passe vaccinal, le ministre déclare maintenant lors d’une émission de télévision qu’il décide de changer les conditions dans lesquelles le citoyen obtient la validité de son laissez-passer.

Ma première réflexion est très politique. Comment le législateur peut-il tolérer un instant qu’un ministre modifie le contenu d’une loi par des changements substantiels dans de futurs décrets sans doute, sur un sujet aussi engageant les libertés et la santé publiques à sa seule initiative, comme s’il était détenteur d’un pouvoir de légiférer alors qu’il n’est que le pouvoir exécutif ? C’est la tyrannie, plus la République. Messieurs les députés et les sénateurs, nous attendons vos réactions.

Le plus grave dans son propos tient au fait qu’il n’y a plus aucune corrélation entre ces affirmations et la connaissance scientifique en matière de thérapeutiques et de vaccination. Le ministre se permet de comparer une infection à une injection comme s’il était acquis qu’elles étaient égales. Or, l’une provoque une réaction de l’organisme sous une injection artificielle ; l’autre une réaction sous pression d’un autre virus produisant une immunité naturelle. Je ne crois pas qu’il y ait un seul scientifique pour certifier l’égalité entre ces injections et une infection.

De même il affirme sans aucune preuve scientifique à l’appui que le système immunitaire doit être stimulé trois fois, information inédite et injustifiée. Nous attendons que le ministre apporte les preuves, sans aucun doute avec des documents construits à la hâte par Mc Kinsey, le consultant universel et omniscient comme chacun sait. Le ministre conclut que même si une personne contracte trois fois cette maladie, il lui faudrait de toute façon y ajouter une injection. La rigueur scientifique est rudement mise à l’épreuve.

Il fait ici la preuve d’une véritable obsession pour injecter coûte que coûte au moins une dose à la totalité de la population française. En dépit des résultats catastrophiques de ces campagnes de vaccination dont les professeurs Delfraissy et Caumes, pourtant favorables au gouvernement, signifient bien qu’elles sont des échecs et que le produit est au mieux un médicament. Monsieur le ministre sait-il qu’il ne peut pas imposer une médecine à quiconque si le produit n’est pas un vaccin ? Le Code de santé publique lui interdit. Or c’est ce qui se prouve jour après jour, un produit qui offre une protection partielle et éphémère n’est pas un vaccin. Un vaccin offre l’immunité sur une longue période. C’est un fait scientifique. Sa pratique va relever très vite des qualifications pénales des accords internationaux et du Code de santé publique : torture, maltraitance, exercice illégal de la médecine, violation de l’intégrité physique, crimes contre l’humanité du fait des décès occasionnés par ce médicament et charlatanisme car il est médecin. Le lecteur doit savoir que le Code de santé publique dit qu’il y a charlatanisme quand un médecin recommande une médecine insuffisamment éprouvée. C’est ici totalement le cas.

L’objectif n’est donc pas une injection mais bien une infection. D’ailleurs la mise en égalité d’une injection et d’une infection de la maladie est bien plus qu’un lapsus. C’est à nos yeux le véritable révélateur de la nature de l’injection ; elle est une infection programmée. L’objectif de l’injection est alors bien une infection des populations à partir de ce « médicament-vaccin » dont plusieurs professeurs en médecine ont démontré qu’il affaiblissait à chaque nouvelle inj(f)ection le système immunitaire, favorisait le fait de contracter la maladie et provoquait des troubles par millions et des maladies dès les premières années après son injection.

Il est urgent qu’il soit demandé à ce gouvernement d’arrêter de parler mais de prouver en apportant les résultats d’études expérimentales dans la durée. Son galimatias de propos incohérents et non documentés tenus hier sur BFM TV (le 2 février) exige des preuves ou des poursuites pénales au nom du Code de santé publique pour commencer. De même son propos sur une Xe dose à l’automne relève d’un acharnement et d’une torture des populations, surtout s’il conditionne l’obtention d’un laissez-passer pour circuler dans le pays.

Pour moi qui ai très longtemps douté du caractère malfaisant, donc plus qu’inutile, de cette campagne de vaccination, ces derniers propos sont éclairants. Son objectif n’est absolument plus la santé publique mais bien l’assurance d’inj(f)ecter les populations à partir d’un produit qui visiblement ne protège pas et nuit même à la santé des populations, et là les études américaines commencent à apporter des preuves indubitables d’une atteinte à la santé publique.

Sortir de cette crise exige de dire que la médecine n’appartient ni au législateur, ni à l’exécutif et cette confiscation de l’exercice de la médecin par les médecins devient de fait un exercice illégal de la médecine inquiétant, car l’État médecin, c’est le signe des régimes totalitaires. Messieurs les députés et sénateurs, prenez vite conscience que vous êtes personnellement en infraction avec le Code de santé publique, en infraction avec la totalité des accords internationaux, car ce produit est un simple médicament. Vous êtes tous en danger de poursuites pénales personnelles car vous pratiquez par vos décisions illégalement la médecine et vos décisions violent l’intégrité physique des personnes. Pensez aux libertés, liberté de prescrire et de soigner, liberté de s’exprimer et liberté de travailler et de vivre dont vous êtes les défenseurs. Ne vous laissez pas inj(f)ecter l’esprit par quelques corrupteurs aux intentions de moins en moins claires, tant leur acharnement est illisible ; sauf à justement voir qu’ils veulent infecter toutes les populations.

Pierre-Antoine Pontoizeau


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