Très
bonne mise en évidence de la seul alternative décisionnelle qui
devrait motiver les « vrais » travailleurs français à
l’occasion des présidentielles : être ou ne plus être... des
veaux masqués, sortir de la merde européiste du capital atlantiste
anglo-saxon sous domination allemande ou disparaître comme
état-nation, comme état de droit.
La bourgeoisie dite française a toujours été
« anti-France », du « parti de l’étranger »
dit De Gaulle je crois dans ses mémoires. Il visait l’infecte Jean Monnet,
alias « John Money » et ses partenaires
européo-néo-nazi :
Côté droite
de la caste mafieuse, grande bourgeoisie, par intérêt de classe
transnationale,
côté gauche
de la caste mafieuse, petite bourgeoisie, par idéologie et esprit de
soumission déguisé en rebellitude citoyenne sociétale.
Deux
catégories décadentes qu’illustrerait bien un duel
Zemmour – Mélenchon, deux fausses pistes aussi anti-nationales
qu’anti-prolétariennes.
(
En cas de duel Zemmour - Pecron ou Macresse, je vous fiche mon billet
que la gauche, pseudo-communiste comprise, appellera encore une fois
à voter « contre l’extrême droite fasciste »... pour
sauver ses petits commerces et prébendes subventionnés.)
Maintenant
que la parenthèse FN (RN) est close, qu’on est débarassé de la
maison Le Pen, les français du peuple au travail devraient enfin se
redéfinir un chantier collaboratif populaire autour des pôles
souverainistes transitoires (UPR, PRCF ou autres), d’un frexit autant
monétaire qu’institutionnel, avant de redevenir enfin « vraiment
francs et donc vraiment révolutionnaires »..
Jouer le tout
pour le tout, au pied du mur, y a plus rien à perdre !