Pour les masques, j’écoutais sharyl Atkisson ce matin qui rapportait fidélement je pense la volte-face extraordinaire (probablement planétaire, vu le mimétisme se doublant d’incompétence des décideurs) de la position sur le masque. Ni Fauci, ni Véran (chez nous) ne mentaient quand ils disaient début 2020 qu’ils n’étaient « ni conseillés, ni recommandés en population générale ». Raoult enfonçait le clou en révélant qu’hormis l’utilité des FFP2 et équivalents pour le personnel soignant des malades contagieux, la littérature scientifique était muette sur le bénéfice à en porter pour les autres.
Cela semble être la crainte (connaissant l’état réel des systèmes de santé) des décideurs qui a voulu mettre tous les atouts dans la balance et donc opter pour des comportements (confinement et masque) rappelant la tentative de freiner l’épidémie de grande peste du 14ième siècle.
Aujourd’hui que la poussière retombe, plus personne ne semble douter de l’inutilité du confinement et des masques et on est quelques uns à avoir mal au cul d’avoir pris une amende dans des endroits déserts pour ne pas avoir eu le signe de ralliement au culte covidien, le masque en tissu (troué comme une passoire à virus) sur le visage...
Des gens ont pris des amendes sur des plages, d’autres pour avoir été surpris après l’heure du « couvre-feu », seuls dans leur véhicule coincé dans les embouteillages causés par des décisions politiques imbéciles.
La confusion omniprésente dans nos structures sociales entre la nécessité de subordination (à la loi, à la hiérarchie, etc) et la soumission inconditionnelle pure et simple, me semble devoir expliquer un peu tout ce que nous avons vu.
Enfin, la collusion patente entre Etats, grands médias et leurs tentacules (« Fact checkers, réseaux sociaux, Agences d’information, Wikipedia et j’en passe) pour délivrer un message unique d’où tout débat éclairé ou questionnement était farouchement combattu et censuré, aura fait le reste.
Le »passeport vaccinal« est grotesque mais c’est pour obliger tout le monde a se faire »vacciner« , ce qui est encore plus grotesque, sachant ce que nous savons, voire dangereux .Le fait que des commandes massives de vaccins aient été faites avant même de connaître leur effet réel (4 milliards de doses pour 460 millions d’européens) impose ensuite de chercher désespérément des bras à vacciner (le syndrôme »Bachelot« au moment de »H1N1« ).
J’ai revisité »Lyssenko" avec cet épisode et les sociologues ont du grain à moudre pour le siècle entier.
On peut se demander si la réponse politique et idéologique à ce virus n’a pas tué et fait plus de dégâts économiques que le virus lui-même. A méditer je pense.