@Sarah juste

Bonjour,

J’ai apprécié votre récit sans concession, révélant la situation ambiante. 

Il est aisé de dire, d’écrire « Réveillez vous », mais dans la vie réelle pour beaucoup, il est très difficile de passer au travers des nombreuses contraintes ou obligations en tout genre. Notamment pour les actifs.

Dans cette affaire du Covid, je dois dire que ce qui me sidère le plus, c’est l’absence de mémoire d’une majorité de la population. Incapable de se souvenir des messages ou prédictions du début qui ne se sont jamais réalisées (fort heureusement) et l’incapacité totale de réflexion voire de bon sens, face à la poursuite de ces derniers depuis deux ans.

J’entends souvent autour de moi « vivement que cela se termine », il y a comme une sorte de lassitude qui monte, mais ce qui est fou c’est qu’elle n’engendre aucune réflexion, aucun questionnement, si infime soit-il.

Récemment une personne me faisait part de sa lassitude, de se faire percer la peau, car à la télé ou dans les médias il a été dis que le « vaccin » protégeait les personnes à risques d’une forme grave.

Je lui pose la question si il est dans cette catégorie, et la réponse fut sans appel, d’après ce « qu’ils » disent oui !

Et ton médecin il t’a dit quoi ? ----------------> Le silence......

Je lui pose ensuite la question de savoir ce qu’il pense de la « vaccination », car nous avons atteint des sommets vaccinal d’après ce « qu’ils » disent, et le nombre de contaminés ne fait qu’augmenter. Nouveau silence.

Les messages alarmistes, catastrophiques, associés à des martelages quasi constants des médias ont presque lobotomisé la conscience, voire éradiquer l’état naturel d’instinct de survie de l’humain pouvant l’amener à se poser des questions.

Aujourd’hui cet instinct animal qui avait permit à l’humain de survivre, d’évoluer est régit par des textes réglementaires. « Ont me protège ».......

Force est de constater que certains le mette de coté par commodité en se soumettant pour continuer à vivre « comme avant », d’autres se soumettent sans aucune réflexion, un grand nombre par « obligation » et une minorité le conserve.