@PascalDemoriane
Oui, sans vouloir positiver à tout prix, il est remarquable de constater aussi l’esprit de résistance qui se diffuse de plus en plus grâce à la troisième dose.
Mais au-delà de tous ces constats de manipulation de l’information, de la volonté de « conformiser » la population qui n’est pas nouvelle, il serait bon de savoir quel monde est possible et que veut-on ?
Pour faire un peu mal, je demanderais par exemple si l’on est capable de reconnaître le football international comme un véritable opium et d’essayer d’amener sa fin.
Je prends volontairement ce sujet polémique, car depuis un bon moment déjà, on trouve par le football une sorte d’œcuménisme total. Il n’y a pas une célébrité, aujourd’hui homme ou femme, pas un politique qui ne déclare son amour immodéré pour le football. Il suffit de revoir la juvénile comédie gestuelle de Macron à la coupe du monde pour se faire une idée du jeu pervers qu’entraîne ce sport dit absolument populaire.
On remarquera qu’il était presque aussi difficile de dire qu’on ne regarderait pas la coupe du monde, non, même pas la finale, qu’on n’en a rien à faire du foot hier, que dire qu’on n’est pas vacciné aujourd’hui. Les contempteurs d’alors n’étaient pas moins virulents que les contempteurs d’aujourd’hui.
Et que penser aussi de cette adhésion névrotique au mot culture ? Si les « Bodins » ne peuvent pas faire de spectacle, c’est la culture qui trinque ? Quelle foutaise ! C’est tout juste du divertissement dont on ne peut que craindre ce qu’il signifie quand on voit que ce genre de spectacle permet des tournées où il faut un matériel digne des rocks stars des années 70, pour des trouvailles de salle des fêtes.
Et puis lu aussi dans les pages du « courrier des stratèges » un article dans lequel un auteur se demandait comment il expliquerait à sa fille qu’ils n’avaient pas pu aller au ski à cause d’un pouvoir corrompu. Des millions de gens ne vont pas au ski parce que de tout temps des pouvoirs corrompus les ont maintenu à un niveau de vie qui le permettait pas financièrement. Et, ironie, c’est tant mieux, car les montagnes qui sont bien dégueulassées aujourd’hui, seraient complètement râpées si tout le monde pouvait aller au ski. Voyez comme les chose sont bien faites. Je signale au passage que j’ai fait partie pendant des année
des « privilégiés » qui allaient au ski.
Donc, il n’y aura de grands mouvement de fond que quand on arrivera à se désintoxiquer de ce qu’on nous a vendu comme désirs, plaisirs, bonheurs, réussites.
Et au niveau des conneries accumulées je ne veux pas commencer la liste, car rien de ce qu’on croit heureux de vivre ou de défendre n’y échapperait...