Je l’avais oubliée cette pièce, depuis un demi-siècle... et elle a resurgi.
Et s’est imposée sans préambule, dès le début de votre récit. j’ai poursuivi.
Cette pièce m’avait appris par le ressenti et non par la raison la réalité, la profondeur et l’étrangeté de la différence. Le héros n’en finissait pas de mourir... et les acteurs déclamaient leurs sentiments, leurs angoisses, craintes, projets, promesses... et il ne finissait pas de mourir... Mon épouse avait les yeux brillants d’émotions, et j’étais là, tel une brute, à analyser les événements de cette représentation...
Elle n’a pas changé, et moi non plus. Nous vivons dans deux mondes si différents et si difficilement communicables. Elle descendra tout-à-l ’heure, après avoir fini son livre. Au-delà de nos différences est la permanence de nos cœurs.
Bien qu’imperméable à la poésie, je suis content de vous avoir lue en ce jour particulier.
14/02 22:58 - JPCiron
Je l’avais oubliée cette pièce, depuis un demi-siècle... et elle a resurgi. Et (...)
14/02 18:41 - robert
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