@Francis, agnotologue
suite :
« Leur objectif le
plus important est cependant l’implosion contrôlée du système financier, complètement pillé et l’introduction simultanée de leur monnaie
numérique, et tout aussi important, l’introduction d’un gouvernement
mondial sous l’égide de l’ONU, qui est passé sous leur plein contrôle en
2019. À cet effet ils ont établi des plans concrets pour cette pandémie
de Corona, depuis au moins le printemps 2009, l’opération « Dark
Winter » suivie par une autre répétition de ce genre, l’exercice de confinement, de la fondation Rockfeller en 2010 et enfin l’« événement
201 » en octobre 2019 à New York, par son sponsor la Fondation « Dr
Johns Hopkins Centre » l’année dernière.
Dès le début, Mmes et Mrs
les membres du Jury, nous donnerons la parole à des experts témoins de
tous horizons scientifiques, mais aussi des témoins qui attesteront
durant ce procès, des préjudices qu’ils ont subi comme conséquences des
injections expérimentales. Après nos déclarations liminaires, nous
allons commencer dans une semaine, en appelant un ancien membre de
l’armée américaine James Bush qui a participé à l’opération Dark Wnter
en 2001 ; Brian Garish et Alex Thomson anciens membres des Services de
Renseignement britanniques ; Whitney Webbe et Mattew Ehret journalistes
d’investigation ; les dr Syvia Baron et Astrid Stuckelberger , anciennes
employées et conseillères de l’OMS.
Ils nous expliqueront le
contexte historique et géopolitique de ce à quoi nous sommes confronté
et ils nous montreront comment cet agenda est prévu depuis au moins 20
ans, à commencer par l’Opération Dark Winter en 2001 (*), et quelques 10 ans
plus tard le scénario du confinement par la Fondation Rockfeller se terminant par la répétition générale, l’événement 201 en octobre 2019.
Et ils vont ... »
On est résolument entré dans la société de l’hubris.
(*) Opération Dark Winter était le nom de code d’une simulation d’attaque bio-terroriste de haut niveau menée du 22 au 23 juin.Dark Winter avait pour objet l’évaluation des insuffisances d’une réponse d’urgence nationale lors de l’utilisation d’une arme biologique contre la population américaine. L’exercice visait à établir des mesures préventives et des stratégies d’intervention en sensibilisant davantage les gouvernements et le public à l’ampleur et au potentiel d’une telle menace.
Le scénario simulé de Dark Winter impliquait une première attaque localisée de variole sur Oklahoma City, Oklahoma, avec des cas supplémentaires d’attaque de variole en Géorgie et en Pennsylvanie. La simulation a ensuite été conçue pour devenir incontrôlable. Cela créerait une réponse dans laquelle le Conseil de sécurité nationale aurait à la fois du mal à déterminer l’origine de l’attaque et à lutter contre la propagation du virus. En ne pouvant pas suivre le rythme de propagation de la maladie, une nouvelle réponse (de type réaction à une catastrophe) émergerait dans laquelle des pertes civiles massives submergeraient les capacités d’intervention d’urgence de l’Amérique.