TF1 INFO : Covid-19 : que sait-on du « procès Nuremberg 2.0 » qui a lieu en ligne ?
Selon TF1 INFO : « Des internautes affirment qu'un procès de l'ampleur de Nuremberg s'est ouvert samedi dernier. Il s'agit du "grand jury international" lancé en ligne par une vingtaine d'avocats anti-vaccins. Cet événement, qui n'a aucune valeur juridique, rassemble toutes les théories conspirationnistes. Des extraits frappés du logo "Grand jury" inondent les réseaux sociaux. Ces vidéos, visualisées des centaines de milliers de fois pour certaines, sont tirées du "grand jury international" lancé en ligne le samedi 5 vendredi. Promu par des figures de la sphère anti-vaccin et anti-restrictions, on le retrouve aussi derrière l'appellation "Nuremberg 2.0". Que sait-on de cet événement ? »
Pour répondre à une telle question, je ne me fierai pas à ce jugement négatif de TF1 INFO et je suis allé chercher ailleurs des sources plus factuelles.
Historique- le 1er jour du procès international populaire initié par Reiner Fuellmich :
« Baptisée Grand Jury (et non "Nuremberg 2"), la procédure juridique, imaginée par le comité Corona, sous la direction de l'avocat international Reiner Fuellmich, a débuté le 5 février. L'avocate française, Maître Virginie de Araujo Recchia, y participe. Elle explique, dans une vidéo de 14 mn les enjeux de cette procédure originale comparable à celle qui se déploie aux Etats-Unis. Un "procès" qui repose sur le jugement du peuple, et qui aura à déterminer les responsabilités dans la crise "sanitaire" qui secoue la planète et les actions judiciaires à engager. »
Je vous propose ci-après, la transcription par mes soins de cette intervention de Maître de Virginie de Araujo Recchia.
« Messieurs les officiers généraux, messieurs les colonels, messieurs les officiers, je me présente, Maître Virginie de Araujo Recchia, juriste avocat depuis 15 ans inscrite au barreau de Paris depuis 20 ans. J'interviens en tant que défenseur des droits de l'homme et des libertés fondamentales. Je souhaite souligner au préalable que c'est un grand honneur de m'adresser à vous aujourd'hui.
En effet, en tant qu'auxiliaire de justice, je m'inquiète de la dégradation de notre État de droit depuis un an maintenant. Les droits fondamentaux et libertés fondamentales sont mis à mal au nom d'unétat d'urgence sanitaire qui n'en est pas un. Depuis la publication de la loi n° 2020-290 du 23 mars 2020 dite loi d'état d'urgence sanitaire pour faire face à l'épidémie de Covd-19, les ordonnance, décrets, lois et prorogations ont été appliqués sans qu'aucun pouvoir n'ait été en mesure de questionner le caractère inconstitutionnel de ces mesures. En ce sens, la séparation des pouvoirs n'existe plus, puisque le Parlement ne peut plus exercer le moindre contrôle sur l'activité du gouvernement tel que prévu à l'Article 24 de la Constitution, que le Conseil Constitutionnel laisse passer l'ensemble des textes malgré de très graves atteintes aux blocs constitutionnel et conventionnel et que la Justice Administrative ne fait plus office de rempart.
D'après l'Article 16 de la Déclaration des Droits de l'homme et du citoyen de 1989, « toute société dans laquelle la garantie des droits n'est pas assurée ni la séparation des pouvoirs déterminée n'a point de Constitution. » C'est pourquoi je m'adresse à vous, étant donné l'urgence de la situation. Le Pouvoir exécutif, sa majorité présidenteille et les ordres et médias complices ont violé les droits du peuple : violation de la liberté individuelle, violation de la liberté d'aller et venir, violation du principe de sauvegarde de la dignité de la personne humaine contre toutes formes d'asservissement et de dégradation, en interdisant de sortie de domicile l'ensemble des citoyens, sans distinction, sans justification d'ordre médical, les citoyens ne pouvant en aucun cas être déclarés arbitrairement coupables de porter atteinte à la sécurité et à l'ordre public. En ce sens, le pouvoir exécutif viole impunément l'exigence de l'Habeas Corpus figurant à l'Article 66 de la Constitution ainsi que dans de nombreuses conventions internationales.
<<<
« L'honneur appartient à ceux qui jamais ne s'éloignent de la vérité, même dans l'obscurité et la difficulté. Ceux qui essaient toujours et qui ne se laissent pas décourager par les insultes, les l'humiliation ou même la défaite » Nelson Mandela »
>>>
Conformémént à l'Article 66, nul ne peut être arbitrairement détenu et l'autorité judiciaire (doit être) la gardienne des libertés individuelles. L'Article 9 de la DDHC le rappelle ainsi : « tout homme étant présumé innocent jusqu'à ce qu'il ait été déclaré coupable s'il est jugé indispensable de l'arrêter. Toute rigueur qui ne serait pas nécéssaire pour s'assurer de sa personne doit être sévèrement réprimée par la loi. » De même, l'article 5 de la DDHC rappelle que la loi n'a le droit d'interdire que les actions nuisibles à la société. Or les mesures d'assignation à résidence sont bien considérées par le Conseil Constitutionnel comme des mesures de privation de liberté lorsque l'astreinte à domicile excède une plage horaire de plus de 12 heures par 24 heures. Lorsque cette astreinte est inférieure à 12 heures, encore faut-il qu'elle soit justifiée par des raisons sérieuses qui portent à croire que la personne représente un danger pour l'ordre et la sécurité publique. Les citoyens ont donc subi des mesures de privation de liberté depuis le mois de mars 2020 sans que cela n'émeuve et sans que la loi du 23 mars 2020 n'ait prévu de contrôle judiciaire. Ainsi le Parlement se voit empêché d'exercer un quelconque contrôle sur cette action en violation de l'Article 2 de la Constitution, et le Juge judiciaire est écarté en violation de l'Article 66. Le total cumulé des périodes d'interdiction de sortie de domicile, confinements, couvre-feux, correspond à une période de neuf mois depuis le 9 mars 2020.
Je me dois de dénoncer cette injustice faite aux Français, lorsque l'on sait que les critères de proportionnalité et d'utilité de ces mesures prévues dans la loi ne sont pas remplies, puisque plus de 25 études scientifiques ont démontré que les mesures d'interdictions de sorties du domicile sont nocives pour la santé, la société et l'économie du pays. Violation du principe général du droit de mener une vie famliale normale par l'interdiction de rendre visite à un proche en Ehpad, la restriction des possibilités d'assister aux funérailles et aux réunions de familles. Violation de la liberté d'entreprendre et atteinte par là même aux intérêts fondamentaux de la nation mettant en danger les PME, les commerçants, les indépendants, le secteur tout entier de la culture, la restauration, le secteur de l'habillement, de l'esthétique, du tourisme, de l'événementiel et bien d'autres encore qui seront prochainement en liquidation.
<<<
« Le monde ne sera pas détruit par ceux qui font le mal mais parceux qui les regardent sans rien faire » Albert Einstein
>>>
Violation du droit de lanifester et de se rassembler. Violences à l'encontre des manifestants ou interdiction pure et simple de manifester. Vviolation du droit à l'éducation. Contrainte à l'enseignement à distance, les élèves et les étudiants sont en décrochages massifs, bon nombre sont en dépression. Violation de la liberté de culte en refusant la tenue de messes dans les lieux de cultes. Violation de l'intégrité physique, psychique et morale de l'ensemble des citoyens par obligaton du port du masque en toutes circonstances sans qu'aucune étude scientifique ne vienne appuyer cette mesure : (au contraire) plus d'une quinzaine d'études scientifiques rappellent l'absence de bénéfice ou pire, établissent la nocivité du port du masque ; il s'agit de tortures et de maltraitance dès le plus jeune âge puisque l'étouffement est une violence physique punie par le Code pénal. Des actes de maltraitance et d'humiliations prohibées par le code pénal ont bien été commis à l'encontre des enfants. Des actes qualifables de crimes contre l'humanité portant atteinte à l'intégrité physique psychique et morale des enfants et plus globalement à leur bien être ont été commis sans aucune retenue. Il en est de même à l'encontre des adultes.
Violation de l'intégrité morale, physique et psychique de l'ensemmble des citoyen en les manipulant via les médias les plus importants et les ''scientifiques de plateaux TV'' auto-présentés comme autorité cependant qu'ils ne soignent pas de patients mais présentent le plus souvent des conflits d'intérêts. En effet, des méthodes de nature à produire des changements de comportement et à attester le degré d'obéissance ont été employés par le pouvoir exécutif à travers les médias. Les méthodes correspondent à ce qui est décrit dans la Charte de coercition de Biderman et aux expériences de Stanley Milgram.
Homicide en injectant du Rivotril aux plus âgés qui auraient pu être soignés. Euthanasies organisées par les ARS, qui ont géré la crise en décidant de faire le tri des patients en fonction de critères arbitraires comme l'âge plutôt que d'augmenter la capacité en lits. Homicides et non assistance à personnes en danger en organisant la pénurie de soins et interdisant aux médecins de ville la prescription de molécules connues et reconnues mondialement pour leur efficacité contre la maladie. Terrorisme d'État en se procurant des produits appelés à tort ''vaccins'' et qui peuvent se révéler plus dangereux que la maladie puisqu'il s'agit de produits encore en phase d'expérimentation et injectés le plus souvent sans consentement éclairé et au mépris du Code de Nuremberg et de la Convention d'Oviedo. Le Pouvoir exécutif s'apprète à rendre ces injections obligatoires pour les enfants et tente d'imposer des tests en milieu scolaire.
Par conséquent, en se procurant ces produits injectables présentant un danger pour la population et en les rendant obligatoires à tous ne serait-ce que par la terreur et la peur cependant que des traitements médicaux existent et sont suffusants pour soigner et guérir la maladie Covid 19, la culpabilité du Pouvoir exécutif est avérée »
111 réactions à cet article
Ajouter une réaction
Pour réagir, identifiez-vous avec votre login / mot de passe, en haut à droite de cette page
Si vous n'avez pas de login / mot de passe, vous devez vous inscrire ici.
FAIRE UN DON