@capobianco
j’ai employé ces mots parce qu’ils sont explicite.
Pour moi, la nation est le niveau ultime de la propriété privé et le nationalisme, consiste donc à défendre cette propriété coûte que coûte.
Le hic, c’est que le monde comporte quelques 2OO nations plus ou moins grandes et belliqueuses, donc aussi, pacifiques. Conséquence oblige, le dogme de la propriété reste dominant avec la compétition et la nécessité de chefs et l’impossibilité de donner la force à un droit international. Cela vaut autant pour l’économie.
Bref, il faut choisir ce que l’on veut, mais la nation, c’est la propriété privé d’un peuple qui peut nouer des relations de coopération, d’alliances, mais ce sera jamais de manière pérenne et globale, car vous aurez toujours le grain de sable qui grippe les rouages. Vous aurez toujours des gens qui aspirent à vouloir dominer et créeront toujours les germes de la discordes. L’histoire ne montre que cela. Notamment aujourd’hui.
Si vous voulez la paix, alors, vous n’avez pas d’autre choix que de placer la nation au dessous de la loi internationale et qui exige de renoncer à avoir des armes pour faire partie d’une force globale. Comme disait Thatcher, ce n’est pas négociable.
Ce principe vaut quelle que soit l’échelle et aucune nation à l’intérieur de ses frontières n’a pu établir la paix sans que la force ne soit plus dans les régions, mais au niveau du pouvoir central. En France, USA, Chine, Russie, etc
Je n’y peut rien, c’est ainsi dans la réalité, or, l’humain en tant qu’être n’a de choix que des finalités, but qu’il se propose d’atteindre, pas des moyens, ces derniers étant le domaine exclusif de la causalité et elle seule(même un Dieu tout puissant n’a de choix que de s’y soumettre ou de renoncer à la réalité). Autrement dit, vous n’avez pas d’autres alternatives que de passer par elle pour changer quoi que ce soit. L’imaginaire étant le propre de chacun, vous aurez toujours autant d’avis qu’il y a de personnes ou du moins, autant qu’il y a de personnes capable de s’imposer a plus ou moins d’autres imaginaires.
Par exemple, comme je ne cesse de l’écrire, si la démocratie c’est la souveraineté du peuple, alors, tout ce qui lui est caché viole sa souveraineté et il n’y a d’exception que la dictature. La transparence est donc le baromètre de la démocratie, plus elle est haute, plus la démocratie est vrai, plus elle est basse, moins elle est vrai. En démocratie, la transparence est à double sens, en dictature à sens unique.
Enfin, la représentation ne peut qu’être dans le sens descendant, pour un mandat impératif et sans possibilité de secret. Dans le sens contraire, il s’agit de la mise sous tutelle ou avant la régence, qui signifie soit l’immaturité, soit la sénilité du peuple. Le covid ayant révélé que le pouvoir en place considère les citoyens autant comme immature que sénile. L’exception étant l’état d’urgence qui nécessite un chef et justifie le secret contre l’ennemi extérieur, mais quid d’un virus !? D’où la nécessité de maintenir l’état d’urgence permanent en jouant les pompiers pyromanes.
Bref, il faut revoir les fondamentaux en rétablissant ou établissant la réalité selon la logique causale et non selon l’imaginaire de ceux qui nous manipulent.
A partir de lundi, je me suis résolu à ne plus écrire de commentaires et me concentrer dans la rédaction de ce qu’est la réalité, sa nécessité. Et après, de faire une introduction à la logique des relations de causalité dans ses fondements, bases élémentaires, car au delà, c’est trop complexe pour moi seul. Mais à partir de là, la réponse à la solution pour mettre en cohérence le respect, la garantie de la souveraineté avec un droit international disposant de la force apparaîtra. Mais il n’y a qu’une seule solution, pas deux. Cela dit, aucun système est parfait et comporte en lui même ses propres défauts, le tout étant de les connaître. Mais ce qui est déjà certain, c’est que le socle est la citoyenneté et la substitution de la propriété par la responsabilité, définie comme la capacité de répondre de ses droits et devoirs envers autrui. Jamais envers soi même, car c’est là que réside la souveraineté et propriété dans sa forme irréductible. etc...