@capobianco
je ne me vexe pas, j’y suis habitué.
Attendez donc l’introduction en question, vous jugerez alors si cela reste toujours aussi obscurs.
Que vous ne compreniez pas le fait que l’être en tant que tel n’a de choix que des finalités ou but qu’il se propose d’atteindre et non des moyens, je le conçois sans donner une explication plus développé et ce sera l’objet de l’article sur la réalité.
Par contre, je ne vois pas où est la difficulté de comprendre que la nation est le stade ultime de la propriété, celle d’un peuple face aux autres peuples. Ecoutez les gens, ils disent « mon pays », « ma patrie » de la même manière qu’ils disent « ma maison », « ma propriété » et pour laquelle ils invoque « ma souveraineté », « ma liberté ».
D’un point de vue de la logique causale, c’est le même principe, seule l’échelle change avec sa forme, mais fondamentalement, c’est strictement le même principe. Faire croire qu’il s’agit d’autre chose est une manipulation, confusion plus ou moins volontaire.
Cependant, remarquez qu’à l’intérieur d’un pays, la seule raison pour attenter à la propriété privé (pléonasme d’affirmation) est l’utilité publique, sans laquelle on ne pourrait pratiquement pas construire de routes et plus généralement des biens publics nécessitant de grands espaces. Or, si cela fonctionne à l’intérieur d’un pays, même aux states, cela fonctionne aussi entre les nations sous conditions de se placer à l’échelle de la planète ! Mais tout comme à l’intérieur d’un pays la force doit être détenu par le gouvernement, à l’échelle de la planète, la force doit être détenu aussi au niveau d’une gouvernance mondiale. Ici, ce n’est pas une question de forme de la mondialisation, mais du fait même de la mondialisation où la forme dépend de la finalité que l’on veut donner à la vie sur la Terre.
Le hic, c’est que les opposant à la mondialisation dites de manière erronée « néo libérale », ne raisonnent pas par eux même, mais par réaction. Résultat, ils sont totalement et très facilement manipulables « à l’insu de leur plein gré », car pour les stratèges du système actuel, il suffit de leur dire qu’ils sont blanc, pour leur faire vouloir noir et inversement.
Etc
Mais bon, attendez donc mes articles, en espérant que cela sera suffisant pour vous éclairer parce que cela ne demande pas une grande intelligence, sans cela, je n’aurai pas pu le percevoir, n’étant pas très intelligent. Cela demande surtout de la conscience.
La différence étant que la conscience est définit ici comme « le sens de l’action en conséquence de la connaissance », tandis que l’intelligence est « la capacité d’action en conséquence de la connaissance ».
Ce qui correspond à l’aphorisme de Rabelais disant « science sans conscience n’est que ruine de l’âme ». Ce qui explique que des gens très intelligents, peuvent servir des gens certes pas très intelligents, mais avec une conscience développé. Sachant que la conscience n’est ni bonne ni mauvaise en soi, tout dépend du sens que l’on donne à son action et du jugement que l’on lui donne.
Bref, rien qui demande beaucoup d’intelligence, mais une remise en question de ses propres barrières, biais intellectuels, construits par un système éducatif lui même biaisé sur ces notions élémentaires, pratiquement des tautologies ou Lapalissades !
Vous pourrez juger bientôt si tout va bien !!!
En attendant, vous pouvez lire mes articles, notamment ceux commençant par « essai sur la société des citoyens responsables » je sais, le titre est pompeux, mais explicite.