Voici une synthèse de mes recherches sur le GIEC ;
Faut-il rappeler le discours de la Méthode de DESCARTES :
"Il faut commencer par mettre en doute tout ce que l’on croit connaitre" Car le pire serait que la Science devienne une nouvelle religion et ses experts de se prendre pour des Dieux. Aujourd’hui en matière de CO2, nous sommes dans le dogme, oui nous y sommes !!!!!!
Le GIEC (IPCC) canal unique d’information des politiques ; Premier doute
En Juillet 1986, le United Nations Environment Program (l’UNEP, le programme des Nations Unies pour l’environnement) et la World Meteorological Association (WMO, l’Association Mondiale Météorologique) mettent en place les bases de l’ Intergovernmental Panel on Climat Change (l’IPCC, GIEC en français) comme organe placé sous la responsabilité des Nations Unies.
Le GIEC fut créé en 1988 à la demande du G7 (G20 aujourd’hui) avec l’accord tacite de Ronald Reagan et Margaret Thatcher qui mandate le Hadley Center du Met Office UK, organisme qui sera l’a source des études basiques de ce qui va devenir L’IPCC, en français GIEC.
Le GIEC (Groupe Intergouvernemental sur l’Evolution du Climat) est missionné pour prouver la véracité du réchauffement climatique anthropique. Au passage, le lobby nucléaire y est dès le départ très présent.
Le GIEC est un « Groupe Intergouvernemental » c’est à dire avant tout une structure scientifique soumise aux forces politiques.
Un mensonge qui arrange !
Le GIEC n’est en fait qu’un groupe d’une quarantaine de permanents, scientifiques internationaux, généralement élus pour la durée d’élaboration d’un rapport (5 à 7 ans),stationnés à Genève, dans les locaux de l’Organisation Météorologique Mondiale, qui ne fait aucune recherche et qui le proclame dans sa présentation. Je cite « le GIEC n’a pas pour mandat d’entreprendre des travaux de recherche ni de suivre les variables climatologique ou d’autres paramètres pertinents « SIC ».
Bien que l’on mentionne souvent les milliers de scientifiques sur les travaux desquels reposent les rapports, l’immense majorité de ces scientifiques n’ont aucune influence directe sur les conclusions exprimées par le GIEC.
Ces experts, sont un petit mille : chercheurs, spécialisés dans des domaines connexes au climat, disséminés aux quatre coins du monde, et qui relisent bénévolement les résumés qui sont proposés par les groupes de travail genevois. C’est ce qu’on appelle un « comité de relecture ».
Une vingtaine de réunions sont programmées chaque année un peu partout sur la planète, (pour faire plaisir à tout le monde !!!!) et on y fait le point sur l’avancement de la compilation.
Le GIEC est doté de trois groupes de travail (GT) : le Groupe de travail I (GTI) traite des bases de la science physique des changements climatiques ; le Groupe de travail II (GTII) traite des conséquences des changements climatiques, de l’adaptation et de la vulnérabilité ; et le Groupe de travail III (GTIII) traite des options envisageables pour limiter les émissions de gaz à effet de serre (GES) et atténuer les changements climatiques. Chaque GT compte deux coprésidents et six vice-présidents, hormis lors du cycle de la cinquième évaluation où le GTIII a eu trois coprésidents. Les coprésidents guident les GT dans l’accomplissement des mandats qui leur sont confiés par le Groupe et sont assistés dans cette tâche par les Unités d’appui technique (UAT).
Le GIEC dispose également d’une Équipe spéciale (Gaz à effet de serre) qui supervise le Programme du GIEC sur les inventaires nationaux de GES, auquel une UAT apporte aussi son soutien. Le Programme vise à mettre au point et à affiner une méthode approuvée à l’échelon international ainsi qu’un logiciel pour le calcul et la notification des émissions et des absorptions nationales de GES, et à en promouvoir l’utilisation par les Parties prenantes à la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques (CCNUCC).
Depuis sa création le GIEC publie tous les sept ans environ un épais rapport de plusieurs centaines de pages, que seuls quelques spécialistes sont à même de consulter, ainsi qu’un « résumé pour les décideurs » (SPM en anglais) de 20 à 40 pages servant de base aux négociations climatiques internationales.
Le GIEC ne fait pas de recherche propre. Il ne fait que s’appuyer sur les travaux scientifiques publiés… mais qu’il sélectionne lui-même, en fonction de ses objectifs et des conclusions auxquelles il veut aboutir…
Ce qui constitue un autre biais majeur : le GIEC tend naturellement à écarter les travaux réfutant la cause anthropique, donc susceptibles de mettre en cause sa propre mission, et sa propre raison d’être.
Les conclusions sont édictées par un cercle restreint de scientifiques et les (résumé pour les décideurs) sont revus et approuvés, ligne par ligne, par les représentants des gouvernements.
A l’évidence, ce processus n’a rien à voir
avec celui qu’impliquent les révisions et les publications de la vraie
recherche scientifique.
Dans quelle autre discipline les
scientifiques travaillant sur un projet sont-ils tenus de faire valider leurs
conclusions par les représentants des pouvoirs politiques ?
05/03 12:24 - charly10
Voici une synthèse de mes recherches sur le GIEC ; Faut-il rappeler le discours de la Méthode (...)
03/03 17:54 - biquet
03/03 16:36 - Mellipheme
@l’auteur. Les données disponibles sur la baisse des rendements agricoles et la perte de (...)
03/03 15:18 - Yves-Landry Kouamé
@wagos Non, détendez-vous, faudra juste attendre un peu et le contraire se produira. (...)
03/03 11:56 - Armelle
Vous lisez encore ces torchons vous ? Rien est à prendre au sérieux dans ces rapports bidons. (...)
03/03 11:43 - tuizatg
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