Les éditorialistes de tous bords (au fur et à mesure des progrès de l’armée russe, notons-le) commencent à découvrir que l’Ukraine n’est pas si propre sur elle qu’on le dit. La place des ukronazis, omniprésents sur la scène politique ukrainienne, commence à faire tâche, une grosse tache de sang, même.
Il aurait été plus éthique pour cette europe si noble, si blanche, de conditionner l’entrée de l’Ukraine à dans l’UE à sa dénazification, et à son interdiction d’entrée dans l’Otan. Elle aurait pu le dire et le faire depuis 8 ans. Pour cela, il aurait d’abord fallu reconnaitre cette nazification, on n’y pense pas !
Mais voilà : c’eut été déplaire aux américains, qu’un régime nazi n’a jamais dérangé nulle part, et .qui ont de toutes autres ambitions que le bonheur des ukrainiens.
De même que depuis deux ans, tout discours commence par « je ne suis pas antivax mais... » avant de démontrer toute la dangerosité des vaxxins, voici qu’apparaissent des discours qui commencent par « je ne suis pas pro-Poutine mais... » qui continuent en expliquant toutes les raisons du monde qui ont justifié le coup de force de Poutine, et.à quel point il avait raison de le faire.
Il y a des gens qui ne comprennent qu’à coup de pied au cul. Et ce coup de pied au cul, c’est Poutine qui le donne au monde d’hypocrites que nous sommes devenus, à force d’aveuglement.
Un exemple de revirement après tant d’autre :
https://www.francesoir.fr/opinions-tribunes/cette-ukraine-si-europeenne