@PascalDemoriane
Oui.
"Seul bémol à
mettre à l’article de l’auteur, c’est la métaphore impropre du ring
et du boxeur. En gros, à l’UPR et dans ce type de parti, on a pas
compris qu’il n’y a pas de combat, ni de ring, ni de règles en
France et en UE.
Il n’y a pas donc pas de KO à encaisser.
Juste une
indifférence et une occultation. La mafia pseudo-gouvernementale ne
combat pas, elle nie l’existence, jusqu’à la négation ontologique
de ce qui n’est pas elle-même. Vous n’existez pas !
/Effectivement.
Permettez-moi une correction à propos de l’usage du mot concussion dont la signification est ici impropre.
Le crime de concussion traduit la malversation d’un fonctionnaire qui
ordonne de percevoir ou perçoit sciemment des fonds par abus de
l’autorité que lui donne sa charge.
Rien de tel en ce qui concerne M. Bayrou.
Entourloupe que la création d’une « banque de parrainage », oui.Assurément, même si ce procédé a permis à des candidats qui étaient sérieusement à la peine de pouvoir se présenter désormais.
"L’entourloupe
de Bayrou sur les parrainages, concussion flagrante, est la preuve de
plus que le pouvoir macronien n’est pas légaliste, inséré dans
l’état de droit. Il n’y a plus d’institution.", écrivez-vous.
Ce qui nous renvoie
à la dialectique OTAN – Russie autour de l’Ukraine (tout est lié).
Face à la super mafia otanienne du capital ubiquitaire anglo-saxon,
aucun dialogue possible, pas de partenariat compétitif régulé
crédible : pas d’autre règle, pas d’autre loi, pas d’autre
juridiction d’arbitrage que l’hegemon du capital anonyme.
/ Effectivement.
La
Russie y est juste vue comme une entité archaïque qui n’est pas
censée, ni sensée être sujet d’elle-même, mais qu’un objet à
intégrer au système du mondialisme dominant.
/ Le problème est que ça grince un peu et que la Russie ne partage pas cet avis et le fait savoir.
Eh bien quand il
n’y a plus de loi commune, nationale ou internationale, la violence
redevient la loi, loi naturelle, loi physique par défaut, juste une
thermo-dynamique de systèmes complexes en retour de l’instable au
stable."
Retour à l’homéostasie...
Bien à vous,
Renaud Bouchard