Après le siècle des révolutions « spontanées », la Subversion allait avoir la « chance » inouïe de trouver un « allié » puissant qui allait, jusqu’à aujourd’hui, user du droit d’intervention dans les affaires intérieures des autres pays : au nom d’un nouveau principe de solidarité internationale, celui des états nationalistes et démocratiques s’entraidant à secouer le joug des prétendues tyrannies traditionnelles. Jadis les hommes se sacrifiaient pour ce qu’ils aimaient. Aujourd’hui, rendus « libres » à la faveur de la démocratie, ils sont désormais contraints de se faire tuer au besoin pour le diable en personne ou pour l’intérêt du Capitalisme, ce qui revient au même.
Le Marxisme paraît défendre les travailleurs parce qu’il semble vouloir tout remettre au pouvoir de l’Etat afin d’assurer une meilleure répartition des biens et des fortunes, alors qu’en réalité son but est, en conquérant les masses ouvrières par la ruse, de tout accumuler entre les mains des « puissances d’argent », dissimulées et camouflées derrière des partis politiques qu’elles contrôlent, qu’ils soient socialistes ou communistes.
La doctrine du Marxisme rejette le principe aristocratique observé par la nature, et le remplace par la domination du nombre, autrement dit, Le Règne de la Quantité... et les Signes des Temps.