Bonne contribution.
Tous cela est bien et bon pour « nous »
adhérents ou ex UPR, (si ce « nous » existe !) mais doit
barber les autres.
Bon, je n’aime toujours pas votre métaphore malsaine
du boxeur qui me semble plus un symptôme du médecin qu’un
diagnostic du malade ! A ce demander qui soigne qui !
Soit.
Quand vous aurez achevé le troisième volet de ce bilan
interne méritoire, faudra changer de plan. Travailler ensemble sur
un constat simple :
Quoi ? un parti politique est une
structure toxique qui porte en elle-même sa contradiction et son
impuissance. Il est absurde de vouloir concentrer en une personne
toutes les qualités et compétences que seule un collectif peut
articuler, de vouloir se battre sur le terrain de l’ennemi avec les
méthodes et moyens de l’ennemi qu’on a pas. En l’espèce des
méthodes crapuleuses et des détournement d’argent public, des
forfaitures et concussions, des spectacles de faux débats de sourds
médiatiques, de combines électorales tordues, du leadership
carriériste, çà marche pas, çà ne peut pas marcher pour la
cause de l’indépendance nationale et populaire ! C’est un
système mafieux qui pourrit les meilleurs, les partis politiques c’est que çà ! Sinon
c’est de la figuration payée au cachet.
Il fallait plutôt
penser en mouvement métapolitique pluriel multi-écoles et
multi-courants, un autre écosystème et une autre forme de
financement, de productivité. La phase électorale ne doit être
qu’un appareil secondaire, d’abord locale, en aucun cas une finalité.
Tout un programme long et difficile, ben oui.
Des énarques mêmes
sincères et patriotes en ont-il la culture ? Non, ce sont des
technocrates gladiateurs d’appuis, utile oui, sans plus. Affaire à suivre.