Asselineau vaincu par KO, au tout début de la seconde reprise ! (partie 2)
Dans cette seconde partie, nous allons démontrer que la ligne politique suivie par François Asselineau (FA) — et depuis des années— ne peut mener à rien, sinon à des désillusions.
Pour l'heure, ayons une pensée pour les militants et électeurs de l'UPR qui voient leur champion éliminé dès le stade des parrainages. Mais au-delà du cas particulier de FA, cette élimination aura également des retombées sur l'électorat en général, et, par voie de conséquence sur l'avenir de la France.
En effet, son absence en tant que candidat va priver notre pays au moins des deux dernières semaines de campagne officielle avant le premier tour, lesquelles semaines correspondent à la période dite d'égalité des temps de parole. C'est fâcheux car l'information du grand public va en pâtir — ou si l'on préfère la non-information sur ce sujet — l'intérêt pour la France à sortir de l'UE — va laisser libre place au discours dogmatique, donc quasi religieux, sur les prétendus bienfaits de l'UE pour notre pays.
Par cette absence, la prise de conscience au sein de l'électorat comme quoi la triple sortie est vitale pour 99,9% des Français s'en trouvera d'autant retardée.
Cette seconde partie me semblant un peu trop longue, je décide — par égard pour le lecteur et donc pour son confort — de la couper en deux.
Maintenant je vais d'emblée annoncer la couleur : je vais être sévère avec François Asselineau.
Je n'ai absolument rien contre sa personne, bien au contraire, et je reprendrai à mon compte les propos d'un de mes lecteurs de la première partie de cet article : « Objectivement, François Asselineau est incomparablement plus sérieux, cultivé et expérimenté que plusieurs candidats qualifiés pour l’élection présidentielle. »
Sauf que...
Tout d'abord voyons les conséquences à court terme de l'élimination de FA.
Un quinquennat comportant 260 semaines (5x52), et compte tenu du système électoral qui est désormais bien différent de celui qu'avait voulu de Gaulle : entre autres l'égalité stricte des temps de parole pour tous les candidats, et seulement 100 parrainages. Une concession qu'il avait accordée notamment à Pompidou, car de Gaulle voulait retenir le chiffre de 50 parrainages. Accordons un grand merci à Giscard et aussi à Hollande pour les "sages décisions" qu'ils prirent par la suite ! : la campagne officielle pour la présidentielle dure désormais cinq semaines, et est dans les mains du « régime des partis » et au seul profit des membres du club très fermé, dit du 0,1%.
Lesquelles semaines sont réparties comme suit. Les trois premières constituent la période dite d'équité, mot difficile à bien comprendre mais que l'on peut expliciter ainsi : pendant la période d'équité les grands médias (propriété des milliardaires pour les uns, chargés de relayer la propagande gouvernementale pour les autres) font ce qu'ils veulent. Ils invitent qui ils veulent et autant de fois qu'ils le souhaitent. Autrement dit aux 210 semaines précédentes s'en ajoutent trois. Le CSA, récemment devenu l'ARCOM, préférant faire des châteaux de sable ou bien « aller voir là-bas si j'y suis », plutôt que de s'occuper de ce détournement démocratique. Ce n'est donc que pendant les 2 semaines dites d'égalité, que les temps de parole doivent strictement être répartis à égalité entre TOUS les candidats.
L'élimination de FA, dès le stade des parrainages, fait que même pendant ces deux semaines (deux sur 260 !) le discours non-européiste n'aura pas droit de cité. Et c'est loin d'être anodin. Ni le fait du hasard.
Nous le répétons : quand bien même la candidature (en solo) de FA n'aurait pas été torpillée, son score au premier tour, et en supposant même qu'il augmente par rapport à 2017, aurait été au maximum de 2%. Et vraiment en étant très optimiste.
Précisément du fait de l'exclusivité du discours européiste en France : non pas 24h sur 24 (encore que ?) mais durant 240 semaines sur 260.
Toutefois, avec FA qualifié, ces deux semaines dites d'égalité auraient quand même permis de faire avancer (disons un peu — faut pas rêver) le compteur de la connaissance : c'est tout. Eh bien même ça, c'est raté !
Or je tiens que FA est responsable de ce qui lui arrive. Et je vais expliquer pourquoi.
La situation n'est pas nouvelle : il est mis au placard depuis des années. Eh bien s'il avait été malin (disons avec un minimum de sens politique) une qualité que visiblement il n'a pas, déjà il aurait fait alliance ces derniers mois avec Georges Kuzmanovic (GK)*. Ce dernier — candidat comme lui et ayant finalement obtenu 49 parrainages — était le porte-parole de Mélenchon en 2017. Sans manquer de respect pour ce monsieur, c'était là une belle prise de guerre pour FA. Pensez-donc : un ancien bras droit de Mélenchon, rallié à la triple sortie et aux côtés d'Asselineau…
* Président de République Souveraine
Mais il y en avait aussi un autre qui était sur la ligne de départ : Fadi Kassem, le secrétaire national du PRCF (Pôle de Renaissance Communiste en France).
Donc des alliances étaient possibles... Disons plutôt des alliances de dernière minute — dans le dernier trimastre de 2021 — donc tactiques. Et ce à la différence des alliances stratégiques qui visiblement ne sont toujours pas à l'ordre du jour à l'UPR et qui visent le long terme. Et s'agissant de ces dernières, que d'occasions perdues depuis au moins 2012 ! (voir plus loin)
Car déjà en faisant un ticket avec lui (je parle bien ici de GK), non seulement on pouvait additionner les 49 signatures qu'il a reçues aux 293 de FA, ce qui finalement faisait déjà 342. Mais les deux équipes auraient pu travailler ensemble et une dynamique gagnante aurait certainement été enclenchée, permettant de largement augmenter ce score.
Mais non, il n'a même pas essayé, le monsieur. Préférant se la jouer en solo : comme toujours. Il n'y a qu'un mot qui me vient à l'esprit : c'est lamentable !
Certes, cela n'aurait peut-être pas été suffisant pour franchir la barre des 500 signatures mais sans aucun doute de s'approcher des 400 signatures, voire de franchir ce seuil. Bref, de faire beaucoup moins mal que ce qui arriva finalement.
Au lieu de cela, il a préféré — et comme d'habitude — y aller seul, et finalement il s'est pris deux claques (cf les émissions sur Europe 1 et BFM TV dont il va être question un peu plus loin)
Comme le déplorait Charles-Henri Gallois, un ancien cadre de l'UPR (un de plus qui est parti. Parce qu'il y en a déjà quelques-uns qui, bien avant lui, ont quitté l'UPR. Et pas des seconds couteaux, SVP !)
« Un mouvement apartisan [ndr : il parle ici de Génération Frexit qu'il vient de créer] mais évidemment pas apolitique, précise-t-il, qui vise à rassembler différentes sensibilités sous la bannière souverainiste, plutôt que d’être dans le “on-est-les-seuls-à-avoir-raison” de l’UPR. » CQFD !
Source : https://fr.sputniknews.com/20200805/on-se-fait-avoir-la-france-est-le-pigeon-de-l-ue-1044205872.html *
(Ce lien étant mort, prière d'adresser toute réclamation à Frau Ursula von der Leyen.)
Même la soirée Brexit à Paris, le 31 janvier 2020, qui était — soi dit en passant — une excellente idée, eh bien il a fallu que FA l'organise unilatéralement, comme le lui fit savoir Jacques Nikonoff en réponse à son invitation :
(...) En dernier lieu, vous prétendez que cette initiative n’est pas une « soirée UPR ». C’est inexact. Si vous aviez voulu organiser un évènement avec d’autres organisations et personnalités, vous auriez dû suivre la règle habituelle de savoir-vivre qui consiste à mettre en place un petit collectif chargé de préparer, dans la concertation, l’évènement en question. Rien de tel ne s’est produit. Il aurait fallu être franc et annoncer clairement que c’était une soirée UPR ce qui n’aurait rien eu de choquant.(...)
N.B. : La lecture en entier de la réponse de Jacques Nikonoff est vivement conseillée.
Mais on pourrait remonter dans le temps : par exemple à la question que je posais à Jacques Cheminade, le jeudi 25 février 2016 :
« Bonsoir M. Cheminade,
Compte tenu des circonstances présentes et de tout ce que fait le pouvoir pour contrer des gens comme vous, mais également François Asselineau, le président-fondateur de l’UPR, notamment dans la quête des parrainages, seriez-vous prêt, vous personnellement, à lui tendre la main pour une rencontre au sommet afin d’envisager une alliance programmatique type Nouveau CNR ? Je rappelle que tous les deux, vous êtes pour la triple sortie de la France (UE, Euro et OTAN). Et dans ce cas, cette main tendue serait-elle, comme je le souhaite, rendue publique ?
Je vous remercie. »
Avis au lecteur : non seulement la page en question (retirée depuis, du site de l'UPR) je l'ai vue, mais je dispose bien entendu de témoignages divers, tant oraux qu'écrits, qui vont tous dans le même sens : L'UPR (en fait FA) serait le meilleur et préfère se la jouer en solo. Soupirs.
Pourtant force est de constater que FA a parfaitement compris les travers du système. Mais voilà, il n'en tire pas les conséquences, à moins qu'il faille suspecter chez lui quelque entêtement. Voire sa personnalité qui serait en cause ?
« L'UPR n’est pas contre des alliances » C'est à peu près la ritournelle que l'on peut entendre dans les rangs de l'UPR et depuis de longues années. Une affirmation que l'on nous serine et qui peut être déclinée de multiples façons, comme par exemple « FA ne refuse pas de s'allier, bien au contraire » dixit une cadre de l’UPR, le 19 février 2022, alors que la veille je lui faisais remarquer par courriel que FA n'aurait pas ses 500 parrainages cette fois-ci, et qu'il en était le grand responsable. Le lecteur aura noté que le 19 février, jour de la réponse de l'intéressée, nous sommes encore à jour J moins 16 avant que le couperet tombe. Oui, une phrase que j'ai entendue ou lue je ne sais combien de fois par ailleurs : du côté des militants UPR. Et aussi sur AgoraVox, bien entendu. Lesquels doivent sans doute répéter ce qu'ils entendent : la voix du seigneur. Et loin de moi l’idée de me moquer d’eux.
Mais, d'une part, ce n’est pas en répétant ce genre de formules que les choses avanceront, certainement pas, et d'autre part, il revient à FA, et à lui seul, de changer de stratégie politique. Autrement dit de faire ce qu'il faut pour provoquer ces alliances : aller vers les autres. Cela s'appelle aussi faire le premier pas. Et, enfonçons le clou, cela s'appelle surtout faire preuve d'intelligence. Disons d’intelligence politique.
Pourquoi revient-il seulement à lui, François Asselineau, d'agir ainsi ?
1)D’abord parce qu’il est à la tête de la formation politique la plus importante sur le plan des effectifs, justement parmi celles qui sont favorables à la triple sortie (UE, Euro et OTAN). C'est ici l'argument majeur.
2) Ensuite, parce qu’il a déjà fait une campagne présidentielle en 2017. Après avoir raté la marche en 20121, tout comme Jacques Nikonoff (Pardem) qui, lui, l'a ratée en 2017.2 Et cette fois-ci, cela fait deux fois qu'il (FA) rate la marche. Deux fois... sur trois tentatives !!!
3) De plus, il cite souvent le Général de Gaulle et aussi prône (avec raison) la nécessité d’un nouveau CNR (Conseil national de la Résistance). Mais il est loin d'être le seul. D'autres formations (le PRCF et le Pardem, notamment) sont aussi dans cette logique.
Et même sans chercher à imiter le Grand homme, il pourrait déjà s’inspirer de ce que fit François Mitterrand : précisément par génie politique — je pèse mes mots. Ayant compris, lui et visiblement lui seul, que la victoire de la gauche ne pouvait passer que par une alliance avec le Parti communiste, et non comme jusqu'alors, en s'alliant avec certaines forces situées plus au centre, il tendit la main à Georges Marchais, lequel l'accepta. Et des négociations débutèrent, notamment avec Robert Fabre (pour le Mouvement des Radicaux de gauche). Le résultat en fut la signature en 1972 d'un programme commun de gouvernement de la gauche, communément appelé Programme commun. Cette signature fut une grande date dans la vie politique française sous la Cinquième République — même si votre serviteur, fils d’électeurs gaullistes, combattit ledit programme à l'époque. Le lecteur voudra bien me pardonner cette erreur de jeunesse.
FA, à qui je dois beaucoup, notamment de m'avoir ouvert les yeux au printemps de 2013 — alors que j'étais mélenchoniste — sur ce qui se cachait derrière l'UE, aime bien rappeler qu'il s'adresse à l'intelligence des Français. Et comme il a raison d'agir ainsi ! Eh bien, moi aussi, je vais tenter — modestement mais avec résolution — de faire appel à l'intelligence de FA, en lui rappelant ce pour quoi je plaide depuis 2016. (voir dans la troisième partie le mode d'emploi)
Et cette réunion organisée par le Pardem (= le M'PEP à l'époque) lors de son université d'automne en 2012 : j'en ai eu quelques échos, tous concordants, tant s'agissant de l'attitude (hors micro) de FA que de certains de ses militants lors de cet événement. Pas franchement positifs, tous ces témoignages...
Mais regardons déjà ces deux vidéos : elles correspondent à deux passages radio-télé de FA, qui ont eu lieu le même jour (= le 6 mars). Oui, il est invité ce jour-là sur deux médias qui comme bien d'autres s'étaient bien gardés de l'inviter depuis la présidentielle de 2017. Pensez donc !
Pourquoi ces deux rédactions (Europe 1 et BFM TV) ont-elles invité FA et pourquoi le 6 mars ?
Parce qu'elles savaient parfaitement que FA n'aurait pas ses 500 parrainages. Et dans deux jours le résultat sera rendu officiel. Alors elles l'invitent, disons pour sauver les apparences puisque d'une part c'est sans aucun risque pour elles (qui veillent à ce que le discours européiste soit exclusif) — un discours quasi religieux, SVP ! —mais aussi, et d'autre part, pour se payer sa tête.
Que l'on visionne bien cet entretien : https://www.youtube.com/watch?v=bPXFNvD5xBI
- François Asselineau reçu chez Europe 1 le 6 mars 2022
Pour ainsi dire, cette invitation fut l'occasion pour la station Europe 1 de dire à FA à peu près ceci, et ce par le truchement de Gaël Giordano : un journaliste plutôt verbeux :
« Écoute coco, ici à la rédaction on t'a bien neutralisé pendant ces cinq années, et on t'a fait venir précisément aujourd'hui — alors qu'on sait parfaitement que dans deux jours tu n'auras pas tes parrainages — d'abord pour te narguer, mais aussi pour bien te faire comprendre que ta mise au placard va continuer. Et maintenant que tu as bien reçu le message, eh bien tu retournes chez toi. Tu regarderas donc la campagne présidentielle à la télé, et c'est bien fait pour toi, mon pote !. Allez, file ! »
Quant à la seconde invitation, sur BFM TV le 6 mars 2022 : https://www.youtube.com/watch?v=IorxySNRwjM
Attention, il n'y eut que huit petites minutes et 43 secondes seulement : faudrait quand même pas rêver... !
- François Asselineau reçu chez BFM TV le 6 mars 2022
La « journaliste » de service ose même lui dire (au minutage 8'05") : « On vous a adressé plusieurs invitations ces dernières semaines, ces derniers mois, que vous avez refusées, Monsieur Asselineau ».
Ben voyons !
Qui peut croire qu'un homme politique, et notamment FA, bouderait un passage télévisé ? Allons, allons !
Mais voilà, plus c'est gros, plus ça passe : et FA doit se prendre ça dans les dents. Et en direct, c'est imparable.
Alors chers lecteurs — réjouissez-vous ou bien résignez-vous, c'est selon — vous ne verrez sans doute plus François Asselineau sur BFM TV avant longtemps. Ni sur Europe 1, France inter, RTL, France info, C Niouze, LCI, France Télévisions, etc. À moins que ce soit lors de l'unique 29 février que comportera le prochain quinquennat (donc en 2024). Et encore, « C'est même pas sûr ! », comme disait Coluche dans son sketch sur les milieux autorisés.
Mais n'oublions pas, l’invitation surprise de LCI : https://www.youtube.com/watch?v=bG4wH_Mil6g (le 1er mars 2022)
Ni celle de France 24 : https://www.youtube.com/watch?v=aQnegqiLdJA (le 3 mars 2022)
Invitations qui survinrent pour les mêmes raisons : alors que les carottes étaient déjà cuites pour FA. Car c'est un fait que depuis le 20 février 2022 Asselineau faisait quasiment du sur-place à 270 signatures environ. Là aussi, l'inviter était sans risque : pour eux.
Inutile donc de s'appesantir sur le système, il est dans sa logique : il enfonce le clou. Et il va continuer à taper comme cela. On ne change pas une méthode qui gagne.
Je l'ai annoncé : par égard pour le lecteur, donc pour son confort, je me vois obligé de scinder cette seconde partie en deux. Il y aura donc une troisième et dernière partie dans quelques jours. Nous proposerons à notre héros une feuille de route : l'avenir de la France en dépend.
Et pour les impatients, ils peuvent toujours aller voir les deux liens tout en bas ; lesquels leur donneront un aperçu de ce qui va suivre.
En attendant je retiens une bonne idée de FA, mais qui ne peut relever que du court terme : faire par vidéos interposées une contre-campagne présidentielle. Mais finalement qui va regarder ça, si ce n'est ceux qui, tout comme votre serviteur, sont déjà fidèles aux vidéos sur UPR TV ?
https://www.youtube.com/watch?v=POsrOKkuNSc (le 13 mars 2022)
FA : « Au bout du compte, c'est toujours, toujours, toujours, la vérité qui finit par l'emporter dans l'histoire des peuples et des nations. »
Mais c'est pour quand le bout du compte ? Faudrait peut-être se bouger un peu pour le précipiter... Vous ne croyez pas, Monsieur Asselineau ?
et aussi :
https://www.youtube.com/watch?v=TXam05KKKH8 (le 14 mars 2022)
(Suite et fin dans la troisième partie)
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1 FA aurait déclaré avoir obtenu 17 parrainages pour 1800 maires contactés (https://fr.wikipedia.org/wiki/Candidats_%C3%A0_l%27%C3%A9lection_pr%C3%A9sidentielle_fran%C3%A7aise_de_2012#500_parrainages_non_obtenus)
2 Six parrainages répartis sur 5 départements https://fr.wikipedia.org/wiki/Candidats_%C3%A0_l%27%C3%A9lection_pr%C3%A9sidentielle_fra%C3%A7aise_de_2017#Candidats_n' ;ayant_pas_eu_les_parrainages_suffisants
Deux anciens articles sur AV. Lesquels vous montreront que votre serviteur a de la suite dans les idées :
12 mars 2020 : https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/moi-milliardaire-deuxieme-partie-222168
15 janvier 2016 : https://www.agoravox.fr/tribune-libre/article/une-vraie-campagne-electorale-176310
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