Il n’y a qu’un envahisseur éternel, la Russie, qui se croie l’héritier de l’URSS avec devoir de recomposer l’empire colonial. Elle a fait peur à tous ces voisins, tout au fil de l’histoire. Ils ne connaissent que trop son impérialisme, dont le totalitarisme communisme n’a été que le dernier prétexte pour passer à l’acte. On a trop eu tendance en europe occidental a ne voir dans l’URSS que la puissance qui nous avait sauvé des nazis, en oubliant la moitié de l’histoire, que ce pays s’était allié d’abord au pire, avec l’accord Molotov Ribbentrop, et que par les hasards de la guerre qu’elle n’avait pas souhaitée, et qui a tenu à la trahison de son allié, elle avait capté la moitié est de l’Europe pendant 50 ans.

Poutine emploie les mêmes méthodes que Milosevic et avant cela Hitler avait développé. La création de poches identitaires, des Sudètes Allemands, de la Krajina Serbe, au Dombass Russe. IL y a eut une sorte de biais cognitif de plus de vingt ans où nous avons refusé de concevoir le retour d’une guerre à l’ancienne, avec cette théorie étonnant de « la fin de l’histoire », qui ressemble à un refus de penser le pire.

Poutine pousse ses pions comme Hitler l’avait fait après la défaite de la première guerre, depuis plus de vingt ans, approuvé par tout ce vieux nationalisme qui n’a pas supporté l’effondrement de l’URSS, la fin de la tutelle russophile sur la moitié de l’Europe. Les Ukrainiens sont tous à fait légitime à se battre pour leur liberté, et ils le seront encore plus demain. Il n’y a plus de retour possible. Le rideau cette fois est tombé sur la frontière Russe. L’Europe en dégage elle une identité qui lui manquait. La Russie vient de se saborder quand à un quelconque projet de lien culturel ou économique maintenant. Poutine comme tout bon psychopathe finit par faire l’erreur de trop, trop confiant dans ses victoires passées.

Cet homme est capable du pire. Une marche arrière pour lui est un fin annoncée de son mandat, et peut être bien d’avoir à faire à des juges, en raison d’un droit international piétiné, dans les armes au phosphore, semble t’il utilisées, montre clairement la surenchère, dans un pays truffé de centrales nucléaires, où il semble nous dire que tout est possible. Ce genre de menace à peine voilée piétinant toutes les conventions et les droits nous ramène bien à la clique nazie, dont Poutine partage les même vocables, transformant l’autre en bête ( Ukrainiens drogués nazis, un terme très projectif....)

Un complot est il possible comme certains de l’état major l’ont tenté sur Hitler ? Tous ne sont pas suicidaires dans ce pays. C’est l’espoir qu’on peut avoir car le Russe est comme l’ukrainien très nationaliste, et la confiance envers Poutine, est à peine égratignée. 70% des gens le soutiendraient encore. Certains doivent redouter le même désastre qui avait hanté le pays pendant des années, après la dislocation, sur le flanc, en proie à tous les margoulins. Il ne connait donc que la loi de l’écrasement de loin, ayant intégré que le combat rapproché est fatal aux russes. On tire donc des missiles supersoniques, de très loin, au mépris de toute logique d’ailleurs, pour bien montrer qu’il peut aplatir totalement l’Ukraine, mais aussi les autre derrière. Le projet de ce fou semble maintenant de vider totalement l’Ukraine de ses habitants, s’ils ne veulent pas se soumettre en esclaves, en les poussant vers l’exil, et en liquidant les autres. Ne pas aider davantage les Ukrainiens est un aveu de faiblesse, et la preuve pour lui que son jeu de poker menteur marche. Les armes actuelles s’adressent à des gens civilisés qui ont intégré l’impossibilité de s’en servir.

Poutine et sa psychopathie nous montre clairement les limites de la rationalité. Une seule évidence pourtant : L’affronter pour le descendre