@Pierre
Un nouveau billet de propagande...La Russie n’a plus rien à perdre, comme aurait dit Hiller en 45 dans son bunker. « Poutine sale con » chante les Ukrainiens. Après ce coup de maitre du soit disant maitre du Kremlin, il faudra au moins 50 ans pour envisager un jumelage, ou ne serait ce qu’un matche de football . Des Russes ont honte d’être Russes, comme des Allemands avaient eu honte d’appartenir aussi à ce peuple honni des autres. Je mets tous les Russes dans le même panier. Je suis même incapable de lire Tchekhov, c’est dire. Je ne sais pas à quel moment on n’a plus rien à perdre, et tout à gagner de changer de paradigme. Poutine en est incapable. Ce psychopathe infatué à fait l’erreur que Toto Rina, un chef mafieux sicilien, menteur pathologique et cruel, qui lui ressemble comme deux gouttes d’eau polluées, a fait avant lui.
A force de ne voir que des gens qui se couchent par terre, et de victoires trop faciles, il a finit par totalement mépriser tous ces adversaires. Les contacts avec les dirigeants occidentaux qu’il a croisé sont révélateurs. Tout juste s’il ne leur a pas mis un coussin péteur sous les fesses. Même son aide de camp a eu droit à sa petite humiliation. Celle du peuple Ukrainien, coupable de Maïden, et du renvoi de leur président guignol à Moscou en 2014 n’a pas été oublié. La vengeance est un plat qui se mange congelé chez Poutine. On peut se demander si ce type a toute sa tête, à jouer comme un tortionnaire avec le bouton de la gégène. Lui le fait en envoyant des obus autour des centrales comme un jeu video pervers. Je vous plains mon pauvre gars de faire le boulot que vous faites. Avec le rouble qui se ramasse, survivre va devenir un exploit. Je sais les Russes sont habitués aussi. On peut pas leur enlever ça. Néanmoins il me semble que le Russe à l’époque des soviets avait encore un certain honneur, et de l’empathie. Entre cœur et vodka, on faisait semblant d’y croire, même s’il se faisait roulé dans la farine par le parti, une bande de pervers qui avait des oreilles partout. Pas facile surement de vivre dans ce pays si on n’y est pas né. Et encore. Mais on est quand même passé de la brutalité supportable à un autre degré. Celui de l’infamie. Le Russe a pris la place du nazi, et le Z sur les chars rappelle les croix gammées. Un avantage ; Un Z sur un char, qu’il soit debout où à l’envers, ça fait toujours un Z