Comment rendre une population malade ?
Faites passer une grippe annuelle pour une pandémie hautement mortelle : comme chaque année, tout le monde va l’attraper, et comme d’habitude, il y aura beaucoup de vrais morts !
Les émotifs, les hypersensibles, les dupes, les hypocondriaques et les hystériques vont se mettre à l’affut des moindres signes de la maladie. Le coeur. La fatigue. Le nez qui coule. La toux. L’odorat. Le goût. Le ras le bol du réveil-matin, des transports et des collègues, de la paye au lance-pierre et puis du travail... Ils vont donc se faire tester positifs, se mettre en arrêt maladie, s’écouter et se suivre, se trouver qui des signes d’aggravation, qui des séquelles, qui des récidives, qui des prolongations...
De leur côté, les vieux, les obèses hypertendus diabétiques, les immunodéficients, les insuffisants respiratoires et les handicapés vont aussi se mettre à l’affût des moindres signes de la maladie. Ils vont les trouver, appeler au secours, aller aux urgences, se faire mal soigner, voire se faire intuber et mourir.
Voilà pour l’homologation de la trame de la plus grosse mystification de tous les temps. Amorçage dans les pays riches à fort potentiel émotionnel et existentiel. Effet boeuf garanti.
Après, vous faites littéralement ce que voulez avec les populations : confinements, tests, couvre-feu, fermeture des commerces et des écoles, chorégraphies-barrière, masques, gels, verrouillage des frontières, chasses aux sorcières...Et pseudo-VACCINS UNE FOIS, DEUX FOIS, TROIS FOIS et cetera. Avec nécessairement des vrais morts là aussi. L’effet vaccin, c’est l’effet boeuf qui perdure.
Ensuite, vous les impliquez dans une guerre-qui-ne-les-concerne-pas, au terme de laquelle vous relancez la pandémie hautement mortelle.
Résultats : des tonnes et des tonnes de pognon pour vos actionnaires et votre industrie états-unienne... avec en prime la fin de la concurrence, d’une façon ou d’une autre.