@Rachdi NEKKAZ
Quelques remarques :
1) Si vous voulez parler de la religion islamique, il faut écrire « islam » sans majuscule.
En français, le mot « Islam » avec majuscule existe aussi mais signifie autre chose que la religion.
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Mettre une majuscule à islam quand on parle de la religion, c’est déjà se soumettre un peu à l’idole des Bédouins et lécher les babouches des frères muzz.
2) Porter le voile islamique ou autre accoutrement de Bédouins en Europe, c’est comme porter une chasuble de croisé dans un pays du Moyen-Orient : il s’agit d’une provocation. Rien à voir avec la liberté de religion.
3) La laïcité, cela consiste pour l’état à ne privilégier aucune religion particulière. La loi sur la laïcité n’interdit cependant pas à l’état de considérer une association comme une secte plutôt que comme une religion. Dans toutes les religions reconnues comme telles en France avant l’arrivée massive de l’islam, il est plus difficile d’y entrer que d’en sortir. Dans l’islam, c’est le contraire : on y est admis en marmonnant quelques charabias, mais on risque sa vie si on veut en sortir.
Rien que pour cette raison, l’islam devrait être considéré comme une secte malfaisante et se voir retirer son statut de religion. Les prêcheurs devraient être expulsés comme des agents d’une puissance étrangère hostile, et les mosquées réquisitionnées pour servir de logements provisoires aux demandeurs d’asile.
Il est absolument inacceptable que les mahométans jouissent de plus de droits en Europe qu’ils n’en accordent aux adeptes des autres religions et aux athées dans les pays où l’islam s’est incrusté et a gangrené tout le pouvoir politique.
4) L’islam ne s’arrête que là où on l’arrête. Les pays qui se sont laissés envahir par les mahométans se sont rapidement transformés en des espèces de planètes des singes dirigés par des primates poilus brandissant un livre idiot et où les insoumis sont traités comme du gibier. Exemple, la partie de l’Inde conquise par les islamiques.
Les Européens doivent agir aujourd’hui pour que cela ne leur arrive pas. Demain, il sera trop tard.