Un courriel
de Diane Ouvry :
« En
2016, tous les sondages américains montraient Hillary Clinton gagnante, loin
devant Trump…
Tous ?
Non !
Un
irréductible sondeur avait bien analysé la situation et avait prévu la victoire
de Trump.
Il avait
aussi annoncé le Brexit, contre toute attente.
Ce sondeur
ne faisait pas comme les autres.
Le problème
des sondages, vous le savez, c’est de ne faire appel qu’à des personnes qui ont
envie d’être sondées. Qui aiment ça.
Le biais est
très important !
Les sondeurs
ne regardent qu’une infime partie qu’ils postulent « représentative » des
électeurs français…
Ce sondeur
pas comme les autres a choisi au contraire de ne pas demander, mais d’analyser
les paroles et les actions concrètes des personnes sur internet, grâce à
l’intelligence artificielle.
Et il montre
qu’Éric Zemmour sera au second tour.
Vous
connaissez sans doute l’application Qotmii-Politique France.
Son moteur
de recherche capte 150 millions de données par jour pour analyser les courants
d’influence et les émotions génératrices d’engagement, comme la Fidélité ou la
Traîtrise :
« Ce sont
deux valeurs fondamentales porteuses d’adhésion ou de rejet qui vont peser sur
les intentions de vote, voire sur le vote lui-même.
Un adhérent
LR de tendance ciotiste va se poser la question de sa fidélité au parti et,
éventuellement, de la possibilité qu’il vote pour Zemmour.
Idem pour un
adhérent RN vis-à-vis de Zemmour qui rebat les cartes du paysage politique
français.
Capter les
valeurs et donc les émotions des électeurs et des citoyens nous permet de
cerner les convictions et dissonances cognitives de chacun, elles vont faire
l’élection. »
« À
l’inverse des sondeurs, en ce moment, nous captons une tendance forte en regard
d’Éric Zemmour que l’on voit assez haut (autour de 19 % - 21 %), en première ou
deuxième position, juste devant Emmanuel Macron que nous donnons ces jours-ci
autour de 16 % - 19 %, alors que les sondeurs le situent entre 22 % et 26 %. » »